vendredi 30 novembre 2018

Calendrier de l’Avent Nocibé

     Bonjour et bonne lecture !

    Je commence ma série sur le thème de Noël avec cet article consacré au calendrier de l’Avent, et plus particulièrement avec un calendrier beauté. En effet, en plus d’installer un calendrier en tissu dans lequel je glisse des bons chocolats (merci à mon compagnon), j’ai acheté cette année un calendrier beauté chez Nocibé. Dans ce domaine, de nombreux calendriers beauté sont vendus à des prix abordables comme celui que j’ai. Bon, j’avoue ne pas m’être contentée de la première version à 30 euros, j’ai acheté celui en édition prestige à 50 euros. Comme je bénéficiais d’une réduction (je suis une cliente fidèle de la marque), je n’ai pas trop hésité.

      Voilà comment se présente le calendrier qui compte 24 cases. D’après le descriptif, les produits proposés chaque jour semblent bien intéressants et les formats plus que corrects. J’aurais dû garder la surprise mais j’ai comparé avec l’autre et celui-là m’a davantage attirée.

 

      J’adore les couleurs de ce calendrier qui sont très lumineuses. Ce qui m’a plu également, c’est le fait que ce calendrier se transforme en petite commode une fois vide. Grâce à ses trois tiroirs, on peut y ranger tout ce qu’on souhaite comme des bijoux ou encore du maquillage pour rester dans l’esprit.  Cette commode s’accordera parfaitement avec les tonalités de ma chambre.

 

     Je suis passée tout récemment chez Sephora au Havre dans le centre commercial de Mont-Gaillard qui organisait un événement spécial. J’ai eu le droit à un maquillage des lèvres qui a tenu très longtemps. Il faut dire que les conseillères n’appliquent que des produits de grandes marques. J’en ai profité pour acheter ces deux produits. Le premier est une gelée micellaire qui nettoie très bien la peau et ne laisse aucun résidu de maquillage. Je l’avais reçu en cadeau sous un petit format à mon anniversaire. Et j’ai craqué pour cette palette de 8 fards à paupières au prix de 10 euros. On croirait que je n’en ai pas ! J’ai passé tout récemment une commande sur le site de Showroomprivé, il y avait une vente de Make Up Revolution dont voici le lien des produits achetés : https://blogdemissidees.blogspot.com/2018/11/mes-palettes-make-up-revolution.html.

      Je suis devenue une vraie passionnée des produits de maquillage, surtout ceux avec des beaux emballages.  A propos du magasin Sephora, il n’en reste que deux à proximité de chez moi  puisque celui dans lequel je suis allée ferme définitivement ses portes.

mardi 27 novembre 2018

Salon Réinventif (visite du 24 novembre 2018)

    Pendant trois jours (du 23 au 25 novembre 2018) s’est tenu le salon Réiventif au Havre, plus précisément au fort de Tourneville situé sur les hauteurs de la ville. A travers la soixantaine de stands, ce salon avait pour but de présenter des objets auxquels des passionnés, amateurs ou professionnels, ont su redonner une seconde vie. Sans oublier les différentes animations qui ponctuaient ces journées.

 

     Ce salon attire de nombreux visiteurs curieux de voir comment un objet a pu être détourné de son utilité première. Bien entendu, l’accent est mis sur le recyclage et les différents points de collecte disponibles dans la ville mais ce salon va au-delà de cet aspect pratique. Les exposants assurent qu’on peut créer des choses intéressantes avec presque rien ou avec des matières qu’on ne soupçonnerait pas. Il suffit parfois de faire preuve d’imagination.

 

      Des livrets gratuits étaient mis à la disposition du public qui souhaiterait trouver l’inspiration parmi ces créations. J’ai remarqué, comme dans l’exemple donné, que les palettes en bois et les caisses de vin reviennent en force. J’ai emprunté tout récemment un livre à la médiathèque concernant justement l’utilisation des caisses de vin. Les créations sont tout simplement étonnantes. Cela va du rangement pour les jouets à un meuble d’appoint pour que la couturière stocke tous ses tissus. D’ailleurs, les magasins ont su repérer le filon puisqu’on peut acheter une caisse de vin en bois poncé (donc aucun risque de se mettre une écharde dans le doigt). Si on veut en dégoter une à moindre coût, il faut se rendre chez Action par exemple.

 

      Ce salon met aussi en avant des objets d’occasion à des prix abordables. Ce livre de point de croix m’a coûté 50 centimes. Il va falloir que je m’installe une bibliothèque consacrée au livre de point de croix, étant donné la quantité qui traîne dans mes placards. Et pourquoi pas une bibliothèque avec des caisses de vin ? Il suffit de trouver le format adapté aux plus grands livres et le tour est joué !

 

      Les modèles de ce livre sont variés et se travaillent avec des couleurs joyeuses, comme pour ces oies qui apportent une touche de gaieté dans toute la maison ou bien encore ces beaux poissons à broder sur un torchon par exemple. Les possibilités sont nombreuses, comme à chaque fois.

      Ce salon a su s’imposer dans les événements qui rythment la ville puisqu’un article lui a été consacré dans le journal Le Havre Infos (un journal gratuit qui paraît chaque mercredi hormis pendant la période des grandes vacances d’été).

vendredi 23 novembre 2018

La manufacture Bohin (visite du 30 septembre 2018)

     J’ai eu l’opportunité de visiter la manufacture Bohin qui se situe à Saint-Sulpice-sur-Risle dans le département de l’Orne en Normandie, à environ 150 kilomètres de Paris. Cette manufacture qui s’étend sur 2500 mètres carré et qui compte deux niveaux produit des aiguilles à coudre, des épingles de sûreté et des épingles à tête de verre de Murano.

      Dire que cette histoire remonte à 1833 ! Cette date marque en réalité le retour de Benjamin Bohin dans sa famille, au moment où il prend la tête de l’usine familiale pour la transformer en atelier de production en série. En 1860, il passe d’un atelier de fabrication d’objets en bois comme des boîtes ou des jouets à une activité basée sur l’aiguille. L’usine de Saint-Sulpice-sur-Risle a été achetée en 1866. En 1868, il se consacre entièrement à cette fabrication. Le fruit de ce travail est récompensé en 1889 lorsque l’entreprise reçoit une médaille d’or pour la qualité de ses produits. Rien ne semble pouvoir venir troubler le succès de cette entreprise. En effet, son fils Paul reprend la direction en 1873 et dépose de nombreux brevets. Même les deux guerres (14-18 et 39-45) ne semblent pas l’atteindre puisque sonne l’heure de la diversification. C’est ainsi qu’apparaissent, en plus des aiguilles, des articles métalliques de papeterie, des petites pièces pour l’industrie textile ou le monde médical. Malheureusement, ces cinq générations n’ont pas su gérer la crise qui atteint l’entreprise au point qu’elle se retrouve en liquidation judiciaire en 1996. C’est un salarié de l’entreprise du nom de Didier Vrac qui en devient le directeur commercial en 1997. Il faut dire que la broderie et la couture reviennent en force à la fin des années 90 et tous ces passionnés hommes et femmes ont besoin d’aiguilles de qualité. Fin décembre 2017, une ancienne directrice du musée de l’aiguille et son mari rachètent Bohin France.

       Dans le cadre du recensement du patrimoine industriel en Normandie commencé en 1982, plusieurs parties de cette manufacture sont protégées au titre des monuments historiques en 1995.
      

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       Le visiteur est entraîné dès la première salle dans la fabrication de cette aiguille qui compte 27 étapes et 2 mois de travail ! Ces différentes étapes sont ainsi résumées sur un mur avant d’entrer dans le vif du sujet.

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       Voici une allée de machines sur lesquelles travaillent les employés. Les aiguilles sont ensuite jetées en vrac sur ce tableau qui bouge et qui trie, formant ainsi des petits tas. Ce n’est qu’une des étapes parmi tant d’autres puisqu’il y a aussi le dressage, le coupage en tronçons, l’empointage, l’estampage, le perçage du chas (trou de l’aiguille où on passe le fil), l’ébavurage, la trempe, le sciurage, le vannage, le rangement, le polissage, le nickelage, la mise en cases, le tallage, l’appérissage, les contrôles qualité, le piquage…

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       … et bien entendu la mise en pochette. Ce tableau compte un nombre important de pochettes, donc un nombre incalculable d’heures passées à la fabrication. Ces produits ainsi que des boîtes, des mètres de couture et tout ce qui a un lien avec l’art créatif sont disponibles à la vente dans la boutique de la manufacture ou chez les revendeurs comme Bouchara ou Mondial Tissus.

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       La visite de la manufacture ne s’arrête pas après les étapes de fabrication, des objets d’archives sont regroupés dans une autre salle comme des anciennes pochettes, des factures…

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        Derrière une vitrine est exposée une véritable oeuvre-d’art. Cette robe réalisée en épingles a fait l’objet de toutes les attentions au salon Créativa à Rouen et à Deauville.

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     Cette visite se décline à la façon d’une boucle qui emmène cette fois-ci dans une autre salle où est racontée l’histoire de la famille Bohin (voir plus haut). Cette reconstitution sous la forme d’une sculpture résume parfaitement ces générations. Cette partie met l’accent également sur tous les métiers en lien avec l’aiguille comme les brodeurs, les couturiers, les taxidermistes (à qui on ne pense pas forcément), les relieurs…

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       Le site de Saint-Sulpice-sur-Risle était en mauvaise posture mais la manufacture a tout de même été conservée. Par contre, celui d’Issy-les-Moulineaux n’a pas connu le même sort.

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       Ces trois photos montrent que Bohin a su diversifier son activité (voir plus haut). Les aiguilles perdurent mais les lames de rasoir ne sont plus commercialisées depuis longtemps.

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     Ces vitrines regroupent d’autres objets d’archives comme cette boîte de dés.

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      Sur cette cloche sont gravées deux dates importantes : 1833 marque le début de l’entreprise et 2004 marque la date de l’inauguration de la manufacture.

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      La manufacture met en avant une autre marque de qualité : DMC. Il suffit de broder avec ces deux marques pour réaliser des ouvrages dignes d’être exposés.

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     Dans une vitrine est exposée une énorme paire de ciseaux. Toutes les couturière et brodeuses en ont forcément une dans leur boîte à couture. Je crois que cette paire peut s’inscrire dans le livre des records.

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       Une dernière vitrine compte un nombre incalculable d’aiguilles. D’ailleurs, personne n’a osé les compter jusque-là. Mais attention, il suffit de ne plus savoir où on en est dans son comptage et il faut tout recommencer !

       Cette visite dans l’histoire de la manufacture Bohin a été un réel plaisir. Maintenant, je ne vois plus les aiguilles de la même façon, tant il faut d’heures de travail pour un tel résultat. Je n’oublie pas non plus de préciser que la manufacture organise régulièrement des expositions. Lors de ma visite, le célèbre peintre Vincent Van Gogh était à l’honneur au travers de 120 patchworks inspirés de ses oeuvres, pas toujours connues du grand public (d’ailleurs, la couleur dominante était le bleu, comme celui des océans).


mardi 20 novembre 2018

Points de croix Sarah Kay

     Au fil des articles, j’ai partagé une de mes passions qui est le point de croix. J’en ai trouvé qui représente Audrey Hepburn, d’autres que j’ai trouvés sur Internet mettant en avant la jolie Betty Boop avec différentes tenues. J’admire également beaucoup l’univers de Sarah Kay autour duquel je possède quelques objets dont un bloc avec du papier de correspondance, un livre de lecture et un livre d’activités dont voici le lien https://blogdemissidees.blogspot.com/2017/05/livre-colorier-sarah-kay.html. Ma collection ne s’arrête pas là puisqu’elle comporte également un bel assortiment de points de croix.

      Cette première illustration présente quelques modèles qui étaient disponibles dans les points de vente habituels comme Loisirs et Créations ou Mondial Tissus mais également sur Internet. Chaque point de croix est travaillé avec beaucoup de soin et chaque détail fait la différence.

 

 

      L’univers poétique de Sarah Kay est décliné soit sous la forme d’un diagramme, soit sous la forme d’un kit complet. Le diagramme ne comporte que la feuille explicative de création ainsi que, dans le cas qui m’intéresse, des perles apportant la touche finale de relief. Les perles bleues du second modèle sont à incruster dans le chapeau. Je n’oublie pas non plus de citer la taille de la toile à utiliser ainsi que la liste des couleurs de la marque DMC qui est la meilleure dans son domaine. J’ai déjà testé les fils de la marque Anchor or, le fil se casse si on tire un petit trop fort dessus.

  

      Voilà quelques kits achetés il y a déjà un moment de cela. J’ai pratiquement tout acheté chez Loisirs et Créations quand le magasin était encore ouvert. C’était une vraie mine d’or ! On y trouvait de tout, aussi bien pour le point de croix que pour les perles, que pour le dessin. Ce magasin a fermé ses portes au Havre et a été remplacé par Hema qui vend quelques produits de couture mais, vu qu’il n’est pas spécialisé dans ce domaine, le choix est restreint. Pour en revenir à ces kits, ils contiennent la toile, les fils, une aiguille ainsi que l’explication. Dans tous les kits brodés jusqu’alors, les fils sont en quantité suffisante, tout comme les strass dans les tableaux en diamant. Ici, comme il s’agit de la marque DMC, si un fil vient à manquer, il suffit de se rendre dans un magasin comme Bouchara ou Cultura et d’acheter son fil.

       Après avoir présenté des diagrammes et des kits, il fallait quand même que je montre un tableau une fois fini. C’est chose faite ! Ce modèle était en réalité un kit où une toile préimprimée était fournie. Heureusement car ce type de toile n’est pas courante, au contraire de celles qui sont en couleur. Je ne compte jamais mes heures lorsque je brode mais je peux affirmer que j’ai passé du temps à broder tous les contours afin d’obtenir un meilleur rendu. A croire même que toutes les broderies Sarah Kay en ont fait une spécialité. Au sujet du cadre, il a été acheté chez Leroy Merlin , comme la plupart de mes cadres. Je crois que j’en ai un qui vient de chez Auchan. Je suis tombée sur une promo d’un cadre bleu qui correspondait parfaitement à ce que je cherchais à ce moment-là.

        Je suis souvent en train de broder dès que les rayons du soleil apparaissent. Il m’arrive de broder à la lumière artificielle or je laisse de côté certaines couleurs et, suivant le type de toile, je ne vois même pas les trous pour piquer mon aiguille. Dire que tous ces tableaux m’attendent de pied ferme ! 

      

vendredi 16 novembre 2018

Petites astuces avec mes appareils

     Lorsque je souhaite me connecter sur Internet, je dispose de deux appareils : soit l’ordinateur portable, soit la tablette. Et, à chaque fois, je m’installe confortablement à mon bureau ou je cale mon dos contre un oreiller. Seulement, l’ordinateur pèse lourd sur mes jambes. En allant chez Ikéa, j’ai découvert des objets pratiques qui ont beaucoup de succès et qui ne sont pas ruineux.

 

      Le premier objet consiste en ce support pour l’ordinateur. Je n’avais pas besoin qu’il ventile par le dessous pour être refroidi, du coup ça me correspondait très bien. C’est un véritable confort au niveau des poignets puisque les mains sont inclinées au-dessus du clavier. Cela fait déjà un moment que je l’utilise et j’en suis très satisfaite. Ce support m’a coûté 6,50 euros. Je l’ai acheté en noir parce que je n’avais pas le choix en matière des couleurs. Maintenant, il existe en rose foncé. La bande en caoutchouc sous le support lui permet de ne pas glisser sir la surface sur laquelle on le pose si elle est lisse. Je dirais que le seul point négatif concerne la carte photo qui s’insère devant, autrement dit là où l’ordinateur est bloqué.

 

      Ce deuxième objet consiste également en un support pour l’ordinateur. Celui-ci se pose sur les jambes et permet qu’il soit plus haut. Je l’utilise déjà depuis un moment et j’en suis toujours contente. De plus, le modèle dessiné est vraiment sympathique.

 

       Ce troisième objet consiste en un support pour la tablette trouvée également par hasard. Comme pour le premier, elle est inclinée et permet même une meilleure visibilité sur l’écran. Lorsque je suis partie en vacances, j’ai emmené ma tablette et ce support qui se glisse facilement dans un sac. Je voulais garder un même niveau de confort.  Ce support coûte 3,99 euros. Je l’ai acheté en blanc parce que, pour la même raison que le premier, je n’avais pas le choix en matière des couleurs. Maintenant, il existe en bleu foncé et en aspect bois, plus esthétique, mais il coûte 9,99 euros ( je ne me voyais pas débourser une telle somme alors qu’il n’apportait aucun avantage supplémentaire).

       Ces trouvailles ont changé ma manière d’utiliser les appareils, je me sens plus à l’aise. Lorsque je sors ma tablette alors que je suis installée sur mon lit, je prends un coussin afin de retrouver ces moments de confort. Je ne regrette pas du tout mes achats.