lundi 31 mai 2021

Des marques de maroquinerie

   Bonjour et bonne lecture !

   Quel sac vais-je prendre aujourd’hui ? Cette question est peut-être déjà revenue à plusieurs reprises. J’avoue que j’hésite à changer de sac comme il pleut souvent. J’ai atteint un sac bleu que je vous montrerai plus tard en photo, je l’ai acheté il y a plusieurs années mais il tient bien la route. Je n’ai pas qu’un seul sac dans le bas de mon armoire, je les sors selon les saisons. Dans l’article du jour, je vais vous parler de ces marques qui ne proposent que des articles de maroquinerie, y compris de la bagagerie. Si ça vous intéresse d’en savoir plus, je vous invite à lire la suite.

 

   Je commence par la marque Lancaster qui est devenue une référence dans le monde de la maroquinerie. On peut même aller plus loin en disant qu’il s’agit d’une valeur sûre. Petite entreprise familiale fondée en plein cœur de Paris au début des années 90 par Thomas Tchen, elle s’est développée sur l’ensemble de la France avant de se faire sa place sur le marché international. Vous pouvez retrouver toute une gamme pour les femmes et pour les hommes. Si vous souhaitez acheter un sac ou un porte-monnaie, il suffit de vous rendre dans un point de vente (le point de vente le plus proche de chez moi se situe à Deauville) ou sur le site Internet.

 

    Je poursuis avec la marque Delsey spécialisée dans la conception et la fabrication de bagages. Si vous cherchez un bagage résistant dans le temps, il ne vous reste plus qu’à vous rendre dans l’un des 12 points de vente en France. La marque Delsey créée en 1946 tire son origine du nom de ses fondateurs qui sont Delahaye et Seynhaeve. Avant de mettre en place un partenariat, Delahaye fabriquait des étuis pour appareils photographiques, des coffrets gainés pour les machines à écrire ou les tourne-disques. Elle a su se faire une place sur les cinq continents, et plus précisément dans 110 pays.

    Je continue avec la marque Kipling fondée en 1987 à Anvers, ville portuaire de Belgique située sur l’Escaut, qui est devenue le leader dans la vente de sacs à main, sacs à dos, bagages, et accessoires. Aujourd’hui, la marque Kipling est vendu dans plus de 80 pays dans le monde. Ainsi, Kipling s'impose comme une marque mondiale de sacs à main légers, incarnant un esprit insouciant et développant le nylon froissé Kipling dans des couleurs et des motifs expressifs. Et étant donné que le nom de la marque vient d’un auteur réputé pour ses contes plein d’animaux extraordinaires (dont le singe), il était important de lui faire un clin d’œil. La mascotte à poils était née !

    Je m’intéresse maintenant à la marque Samsonite. Depuis sa création en 1910 par Jesse Shwayder, cette marque conçoit des bagages et des sacs de qualité pour accompagner les voyageurs dans leurs longs périples. Pour la petite anecdote, la marque originaire de Denver dans le Colorado s’inspire du personnage biblique Samson doté d’une force incroyable.

 

    Cette fois-ci, je me penche sur une marque je découvre en même temps que vous, il s’agit de la marque Polène qui est une maison de maroquinerie parisienne fondée en 2016 par une sœur et deux frères. Des lignes organiques et épurées apportent élégance et douceur aux pièces de maroquinerie. Créateurs exigeants et passionnés par le savoir-faire d'excellence, ils valorisent l'artisanat à travers leurs collections réalisées à la main en Espagne. Les sacs sont vendus uniquement sur le site Internet et dans la boutique située à Paris (voici l’adresse : 48 rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie 75004 Paris).

  

      Je me tourne vers la marque Longchamp qui est une entreprise française de maroquinerie, fondée à Paris, en 1948 par Jean Cassegrain. L'entreprise est connue pour ses sacs à main en cuir et en toile, ses articles de voyage, ses accessoires de mode et dernièrement son prêt-à-porter. Pourquoi un cheval ? Avant sa création,  Jean Cassegrain passait chaque jour devant le célèbre champ de course parisien de Longchamp et son vieux moulin. « Cassegrain » signifiant également « meunier », le fondateur de la Maison puisa son inspiration dans ce symbole.

    J’espère que cet article vous aura plu et vous aura peut-être permis de découvrir certaines marques. Pour ma part, j’ai découvert tout récemment la marque Polène et j’ai décidé de vous la partager.

mercredi 26 mai 2021

Quelques livres de Danielle Steel

   Bonjour et bonne lecture !

   Si vous me suivez depuis un petit moment, je consacre quelques articles à mes lectures. Mon meilleur moment de la journée pour lire ? Le soir avant de me coucher. Je regarde la télé de temps en temps mais cela ne m’empêche pas de lire une dizaine de pages avant d’aller me coucher. Si j’ai besoin de passer du temps sur l’ordinateur à répondre à des sondages ou à peaufiner l’écriture d’un article, il m’arrive de lire un peu plus longtemps. Et si je finis tout ce que j’avais à faire de bonne heure, je peux lire une quarantaine de pages. Je compare la lecture à un gros pot de compote. Tout récemment, j’ai acheté des pots de compote au rayon ambiant qui contiennent 750 grammes. C’est tellement bon que les cuillères à soupe défilent les unes après les autres au point de se raisonner à un moment donné. Bah justement, c’est comme un livre dont le sujet me passionne. Je suis tellement prise par l’intrigue que je me dis qu’il est l’heure d’éteindre la lumière quand je vois que mon réveil affiche minuit. Lorsque je suis en week-end, ce n’est pas bien dérangeant. Par contre, quand je dois me lever tôt, c’est une autre affaire. Je dois avoir à peu près la même tête que tout le monde, c’est-à-dire les cheveux en bataille, des cernes sous les yeux et l’appel du lit. Vous voyez de quoi je parle ? Ah ça rassure, je me sens moins seule. Pour en revenir au sujet du jour, je vais vous présenter quatre livres d’un auteur que vous connaissez au moins de nom, il s’agit de Danielle Steel. Cette romancière est née à New-York le 14 août 1947. Avec près de 80 best-sellers publiés en France, plus d'un demi-milliard d'exemplaires vendus dans 69 pays et traduits en 43 langues, Danielle Steel est l'auteur contemporain le plus lu et le plus populaire au monde. En plus de ce joli palmarès, 22 romans ont fait l’objet d’une adaptation à la télévision. Si ça vous intéresse d’en savoir plus sur ces livres, je vous invite à lire la suite.

 

    Je commence avec le livre “Seconde chance” paru en 2004. A en croire la sagesse populaire, les contraires s'attirent... Cela peut déboucher sur un mariage, jusqu'au jour où les deux intéressés en viennent à se demander s'ils étaient réellement faits l'un pour l'autre. Dès lors, la rupture n'est pas loin. Mais, dans la vie comme en amour, il n'est jamais trop tard pour une “Seconde chance”. Voici le résumé : Rédactrice en chef de Chic, grand magazine de mode new-yorkais, Fiona Monaghan mène une vie excitante entre sa maison de Manhattan et les défilés de haute couture en Europe. Avec ses armoires remplies de vêtements, son vieux bouledogue et son homme de maison pakistanais, la jeune femme est parfaitement heureuse. Jusqu'à ce que, par une journée caniculaire de juin, John Anderson pénètre dans son bureau... Après un dîner particulièrement agréable, Fiona l'invite à Paris, où ont lieu les défilés d'été. Dans la ville la plus romantique du monde, entre la magie des podiums et les promenades sur les quais, leur relation prend un tour nouveau et, à leur retour à New York, les choses s'accélèrent. Alors que Fiona a toujours refusé de partager son domicile, elle accepte que John, qui a perdu sa femme quelques années auparavant, s'installe chez elle. Tout commence à se gâter lorsque Fiona fait la connaissance des deux filles de John...

 

     Je poursuis avec le livre “Cadeaux inestimables” paru en 2015. On peut dire ici que le pardon est au cœur de ce roman prenant. Voici le résumé : Paul n'a pas été un bon père mais il n'est jamais trop tard pour changer : lors de la lecture de son testament, sa famille réunie découvre qu'il a réservé à chacun d'eux une ultime surprise.À Timmie, sa fille aînée, très engagée auprès des sans-abri, il lègue la somme nécessaire à l'ouverture d'un centre d'accueil. Il encourage Juliette, la cadette, à utiliser son héritage pour voyager, découvrir le monde et, enfin, penser à elle. Joy, la dernière, peut grâce à lui abandonner son travail de serveuse pour se concentrer sur sa carrière d'actrice. Son ex-femme Véronique se voit quant à elle confier la mission d'aller en Europe, à la recherche de l'auteur d'un mystérieux tableau.

 

     Je continue avec le livre “Musique” paru en 2017. Si vous cherchez une lecture légère où l’héroïne porte le même prénom que moi, je vous conseille ce roman plein de bonnes surprises. Voici le résumé : Seule et déprimée après le décès de son mari, Stephanie ne sait plus que faire d'elle-même. Bill lui a pourtant été infidèle et leur relation s'étiolait. Elle accepte à contrecœur de partir en vacances avec deux couples d'amis et passe un séjour doux-amer. Sur la route du retour, sous l'impulsion du moment, elle se rend à Las Vegas. Après tout, elle est libre de faire ce qu’elle a envie. Elle découvre les paysages uniques du Grand Canyon et fait la rencontre de Chase, un homme charmant avec qui elle prend plaisir à discuter. Gracieusement, il lui offre des billets pour un concert. Ce n'est que plus tard qu'elle comprend qu'il n'est autre que Chase Taylor, grande star mondialement connue de la musique country. Et quand il lui propose de l'accompagner en tournée, Stephanie accepte. Après tout, personne ne l'attend plus chez elle...

 

    Je termine avec le livre “Collection Privée” paru en 2018. Si vous aimez les chasses aux trésors avec de beaux bijoux, ce roman est fait pour vous. Voici le résumé : Dans une banque new-yorkaise, un coffre abandonné. À l'intérieur, des lettres, quelques photos d'un couple glamour datant des années 1950 et, surtout, des bijoux d'une valeur extraordinaire. Mais qui était donc leur propriétaire, Marguerite Wallace Pearson di San Pignelli ? Et pourquoi n'a-t-elle pas laissé de testament ? Jane Willoughby, stagiaire au tribunal, contacte Phillip Lawton, employé chez Christie's, afin de procéder à l'expertise, puis à la vente des bijoux dans le cas où aucun héritier ne serait trouvé. Alors qu'ils tentent de rassembler des informations sur la mystérieuse Marguerite, Jane et Phillip se passionnent pour son incroyable destin et remontent sa trace, de New York à Paris, puis de Rome jusqu'à Naples. Son histoire trouve une résonance particulière auprès de Phillip : le jeune homme découvre qu'il partage bien plus qu'il ne le pensait avec la défunte.

    J’espère que cet article vous aura plu et vous aura également donné envie de lire ces livres. N’hésitez pas à vous rendre dans les librairies pour découvrir les prochaines sorties.

dimanche 23 mai 2021

Quelques exemples de riz

   Bonjour et bonne lecture !

  J’ai remarqué qu’on ne prêtait plus vraiment attention aux choses qui nous entourent. Mon précédent article sur les imprimantes en était l’exemple parfait. Je ne vous demandais de me sortir une étude digne des grandes écoles mais bien de la regarder autrement. Il en va de même pour les objets de la vie courante comme une brosse à dents ou une assiette. J’ai choisi ici de m’atteler à un autre domaine que celui de la technologie qui a malheureusement ses limites (ne me demandez pas de vous parler du dernier IPhone, j’en suis incapable). Est-ce que ça vous dit de manger du riz en accompagnement ? Je ne sais pas ce que vous mangez ou ce que vous aimez manger mais j’aime bien le riz avec une petite cuillère de sauce tomate. Miam miam ! Bon, ce n’est pas très diététique mais ce n’est pas l’effet recherché non plus. Je vais creuser encore plus loin puisque je m’intéresse à la marque Taureau Ailé. Elle propose trois riz sur lesquels j’ai envie de me pencher. Si ça vous dit d’en savoir plus, je vous invite à lire la suite.

   Avant d’entrer dans le vif du sujet, il faudrait commencer par vous parler de la marque Taureau Ailé dont on voit quelques publicités à la télévision. Créée à Arles autour des rizières de Camargue en 1970, la marque Taureau Ailé tire son emblème du fronton de la cathédrale Saint-Trophime d'Arles, où l'on peut voir un taureau ailé symbolisant Saint Luc. Sur le site, vous pouvez retrouver des idées de recettes et des conseils pour préparer un bon riz.

  

    A présent, il est temps de faire un tour d’horizon de ces trois riz évoqués plus haut dans mon article:
- le riz thaï : il provient du verdoyant plateau de l’I-SAN, situé au sud du Mékong et au nord de la frontière cambodgienne. Les grains de ce riz sont charnus et très blancs.
- le riz Basmati : il provient des hauts plateaux du Penjab situés aux frontières de l’Inde et du Pakistan.
Le nom « Basmati » vient de l’hindi et signifie la « reine du parfum ». C’est incontestablement l’un des des riz les plus parfumés au monde. Les grains de ce riz sont fins et allongés.
- le riz Kamâlis : primé 4 fois meilleur riz du monde au cours des dix dernières années lors de la World Rice Conference (le prix du meilleur riz est décerné par un jury de chefs internationaux). Le Kamâlis est un riz originaire du Cambodge à la texture moelleuse et à la blancheur exceptionnelle.

    Chaque paquet de 500 grammes contient 8 portions. Tout comme de nombreux produits, ces paquets sont à conserver dans un endroit sec et à refermer grâce à la languette adhésive pour préserver tout le parfum du riz.

   J’espère que cet article vous aura plu, je vous laisse maintenant faire votre choix parmi ces trois sortes de riz. Bon appétit !

jeudi 20 mai 2021

Les 4 couleurs d’une imprimante

   Bonjour et bonne lecture !

   Aujourd’hui, je vais m’intéresser à un objet qu’on retrouve chez de nombreuses personnes et qui a son utilité. Non, je ne vous parle pas d’un téléphone. Si vous m’entendez râler alors que l’ordinateur est allumé et que le réseau Internet fonctionne, c’est sûrement parce que j’essaye d’imprimer et que l’andouille ne me sort pas mon document ! L’andouille n’est autre que l’imprimante qui n’a pas écopé que d’un seul surnom aussi charmant que le précédent, croyez-moi. L’ancienne imprimante me sortait mon document noir et blanc alors même que les autres cartouches étaient vides, pas celle-là.  Ici, je vais donc vous parler des imprimantes sous forme de catégories. Je vous laisse donc lire la suite.

 

   Avant de se lancer dans l’achat d’une imprimante, il faut vous demander quel type de cartouche vous intéresse, autrement dit il faut se poser la question de la rentabilité de l’impression. En clair, est-ce que vous imprimez beaucoup ? Cette imprimante va-t’elle fonctionner à titre personnel ou à titre professionnel ? Est-ce que vous allez plutôt imprimer du texte ou plutôt des images ? Il existe deux types de cartouches :
- les cartouches pour une imprimante laser : je compare généralement une imprimante laser à une grosse boîte car tout le mécanisme de l’imprimante se trouve dans la cartouche qui renferme une poudre qui chauffe. En théorie, si vous utilisez du papier de bonne qualité, vous pouvez même imprimer en recto verso.
- les cartouches pour une imprimante jet d’encre : l’imprimante n’assure plus que cette fonction, elle scanne et photocopie les documents qu’on souhaite. Si vous tombez sur une imprimante du genre de la mienne, elle est toute légère. Ici, c’est un liquide qui est projeté sur la feuille. Contrairement à la première, il est très difficile voire impossible d’imprimer en recto verso. J’ai voulu faire l’essai, on ne relit plus ce qu’on a imprimé.

   Lorsque vous achetez une imprimante contenant des cartouches à jet d’encre, il existe deux sortes. En effet, dans le premier cas, vous disposerez de vos 4 cartouches séparées. Autrement dit, vous ne changez que celle qui est vide. Dans le deuxième cas, vous ne disposez que de 2 cartouches, une cartouche noire et une cartouche couleur. Dans l’imprimante que je possède, elle renferme 4 cartouches séparées. Dans mon ancienne imprimante, j’avais même une cinquième cartouche noire pour l’impression photo. Apparemment, la marque HP propose majoritairement des imprimantes avec le système des 2 cartouches. J’avoue ne pas savoir laquelle de ces deux options est la plus rentable. Je sais que mon imprimante est assez coûteuse au niveau des cartouches mais les réservoirs ont une contenance tellement réduite que j’y reviens souvent.

    Et si je vous parlais à présent des 4 couleurs contenues dans ces cartouches ? C’est tellement devenu un automatisme que plus personne n’y prête attention. Etes-vous capables de me citer ces couleurs sans regarder sur Internet ? Pour répondre à cette question, on trouve du noir, du jaune, du cyan et du magenta.
- le noir : c’est une couleur que j’utilise souvent car j’écris beaucoup. Eh oui, en plus d’être une passionnée de lecture, l’écriture compte parmi mes centres d’intérêt. J’ai beaucoup d’idées que je couche sur le papier avant de passer à l’écriture sous Word.
- le jaune : vous allez sans doute trouver ça poétique ou complètement niais (au choix) mais j’aime beaucoup cette couleur qui rappelle le soleil, les fleurs, les citrons…
- le cyan : cette couleur s’apparente au bleu. Pour la petite histoire , cela vient du grec “kuanos” qui désignait
un minerai bleu utilisé dans la Grèce antique pour la teinture des vêtements. On appelait ce minerai aussi azurite. La dénomination Cyan s’est imposée au fil du temps.
- le magenta : cette couleur s’apparente à du rose foncé. Pour la petite histoire, Magenta désigne également une ville d’Italie dans laquelle on a découvert cette couleur.
     Une autre petite question avant de vous laisser vaquer à vos occupations ? Savez-vous que ces couleurs soit parfois définies par des lettres CMYK ? Je vous aide: le C correspond au Cyan, le M correspond au Magenta, le Y correspond au Yellow (ou jaune) et le K correspond au Black (ou noir). Pour cette dernière, cette couleur ne doit pas être confondue avec le bleu ou “blue” en anglais.

   J’espère que cet article vous aura plu et vous aura permis d’en savoir un peu plus sur les imprimantes. Je ne suis pas du tout une spécialiste de la technologie, donc je ne m’aventure que sur des terrains que je connais.

dimanche 16 mai 2021

Mon passage chez le coiffeur

   Bonjour et bonne lecture !

   Je ne sais pas ce que vous en pensez mais prendre soin de soi devrait s’intégrer pleinement dans notre quotidien. On devrait s’accorder des moments où on se fait une manucure à la maison ou on s’applique un gommage sur le corps par exemple. Et il ne suffit pas de dépenser des fortunes pour avoir des bons produits. Les marques d’enseignes comme Sephora et Marionnaud proposent des produits de soin à des prix abordables. Pour celles qui seraient hyper attentives à la composition de ces produits, les enseignes y prêtent également une attention toute particulière. Il y a quelques années encore, je ne prenais pas vraiment soin de moi, j’achetais des produits “basiques” (savon, gel douche sans odeur particulière, shampoing…). Maintenant, j’aime acheter un gel douche un peu fruité ou encore une crème pour les mains à la pastèque qui sent très bon et laisse mes mains douces. Et pour prendre encore plus de soin de moi, un passage chez le coiffeur s’imposait. Dommage que je n’aie pas pris une photo avant la coupe, vous auriez vu la différence. Je vous laisse avec la suite de l’article, c’est parti.

  

    Le samedi 15 mai, donc hier, je suis allée chez le coiffeur. Il s’agit d’un salon indépendant. Pour la petite histoire, j’ai commencé à aller dans un salon indépendant où j’allais régulièrement jusqu’au jour où ! Eh oui, je suis allée ailleurs pour le rendez-vous suivant le jour où le petit-fils faisait du vélo dans le salon et que la coiffeuse faisait attention à ne pas couper trop de cheveux (ou mon oreille, on ne le saura jamais). Je veux bien que chacun ait une famille mais il faudrait éviter de mélanger vie privée et vie professionnelle. Ensuite, je suis allée dans un salon qui dépend d’une chaîne. Je ne citerai pas le nom. La coiffeuse se promenait pour aller voir une autre cliente alors qu’elle s’occupait de ma coupe. A la fin de chaque passage, le coiffeur prend un miroir et vous montre l’arrière en vous demandant si ça vous convient. La coupe n’avait pas l’air trop mal étant donné les allers et venues. Mais en réalité, elle était pleine de défauts. Entre les mèches plus courtes que les autres et une coupe inégale de longueur, c’était un fiasco. Comment expliquer qu’il m’a fallu du temps avant de remettre les pieds chez un coiffeur ? Une voisine qui tient un salon m’a convaincue de venir à son salon et de voir ce qu’il en était. Je peux vous dire que plusieurs passages ont été nécessaires pour rattraper cette coupe affreuse. Il fallait attendre que les mèches trop courtes repoussent pour arriver à un résultat digne de ce nom.
     Lorsque je vais chez le coiffeur, c’est toujours pour la même chose pour le moment, à savoir une formule shampoing, coupe, brushing. Je me lancerai peut-être dans une couleur un peu plus tard ou des mèches.

  

     Cette coiffeuse, en plus d’avoir sauvé ma coupe de cheveux qui laissait à désirer, vend quelques produits de coiffage. J’ai connu une période délicate pendant laquelle je perdais mes cheveux au point d’être clairsemée. Le shampoing que j’ai acheté ne moussait pas beaucoup et dégageait une odeur pas particulièrement agréable mais il m’a sauvé les cheveux. C’est clair, j’ai vidé toute la bouteille mais quel bonheur de ne plus retrouver de grandes mèches de cheveux dans les peignes ! J’achète également ce spray qui ne dégage pas de gaz et ne fait pas un effet “paquet” dans les cheveux. Comme il va bientôt se finir, j’en ai un d’avance rangé dans mon coffre qui s’est transformé en une réserve de produits.

 

     En parlant de ce que j’achète pour mes cheveux, j’ai rédigé un article tout récemment concernant les accessoires pour les cheveux, je vous mets le lien ici si ça vous intéresse : https://blogdemissidees.blogspot.com/2021/04/des-accessoires-pour-les-cheveux.html. Et je suis obligée de faire un achat prochainement car mon peigne s’est cassé en deux morceaux et il ne me reste plus que celui que vous apercevez en photo. J’adorais ce peigne avec des cerises acheté à Primark. Dans les enseignes, je ne trouve que des peignes noirs basiques. Sinon, j’en ai repéré sur Amazon en bois vendus par 2 au prix de 7,99 €. Je ne vais quand même pas débourser 48 € pour un peigne ! Eh oui, ça existe !

     J’espère que cet article vous aura plu, je serais curieuse de savoir à quelle fréquence vous allez chez le coiffeur et dans quel type de salon, indépendant ou grandes chaînes.