La matière de mes pulls

   Bonjour et bonne lecture !

   Il fait un froid de canard ! Bon, je commence mon article avec moins de douceur que d’habitude mais c’est pourtant la réalité. Aujourd’hui, j’ai eu le droit à des pluies violentes, à de la grêle et à de l’orage. Ne me demandez pas où sont passées les éclaircies, je ne sais pas. Peut-être en jetant un bref coup d’œil à la fenêtre au bon moment sinon, le temps était pourri. Ce froid continue de se généraliser dans les différentes régions. Tout ça pour vous dire que je vais bientôt troquer mon blouson moutonné contre un bon manteau que je vais devoir nettoyer. On a l’impression qu’un chat s’est frotté dessus et y a laissé tous ses poils. Et vous savez quoi ? Je n’ai même pas de chat ! Il en va de même pour les pulls, je vais atteindre des pulls plus chauds et confortables, dans lesquels je me sens bien. Je vais vous poser une question : en quelle matière sont confectionnés vos pulls ? D’emblée, je ne peux pas y répondre car je n’en ai aucune idée. Jusqu’à aujourd’hui où il est question dans mon article de la matière de mes pulls. Si cet article vous intéresse, je vous invite à lire la suite.

   Je ne vais pas vous montrer tous les pulls que je possède car certaines matières doivent se regrouper. Cela dit, l’article n’en serait pas beaucoup plus long si je vous montrais tout.

 

    Je commence avec ce premier pull acheté sur le site La Modeuse. J’ai découvert ce site un peu par hasard. Je cherchais des vêtements qu’on ne trouve pas ailleurs, autrement dit qui soient incapables à identifier. Je m’explique : telle personne porte telle jupe, elle a été achetée dans tel magasin. Vous remarquerez que les coupes se ressemblent d’une année à l’autre pour une même enseigne. J’ai tout de suite aimé ce pull avec tous ses pompons et ce lacet double qui permet de marquer la taille. Il est composé de 50% de polyamide et de 50% d’acrylique. Ces deux fibres ont pour objectif d’imiter la laine qui conserve ce caractère toujours aussi luxueux. Méfiez-vous si vous avez un vêtement qui contient de l’acrylique car il aura une tendance à boulocher. J’avoue que je ne m’en aperçois pas pour le moment.

  

    Je continue avec ce second pull acheté également sur le site La Modeuse. Qui n’a pas une marinière sous la forme d’un pull ou d’un tee-shirt dans son armoire ? Moi avant que je n’achète ce pull plus long sur l’arrière. Vous remarquerez que ce pull se compose de quatre matières différentes ! Rien que ça ! Du coup, j’ai dû prendre deux photos pour vous montrer toute l’étiquette. J’avoue que je porte plutôt ce pull au début du printemps. L’élasthanne est considéré comme un tissu fragile qui ne supporte pas le lavage à la machine. Heureusement, ce pull en contient une quantité infime.

 

   Je passe à un autre pull acheté à Mango. Vous remarquerez les détails des petites boules sur tout le pull, un peu comme le pull que je viens de vous présenter. Je ne me rappelle plus à quelle période j’ai acheté ce pull mais il a bien traversé deux hivers sans se déformer, il est toujours aussi impeccable. Ce pull est composé essentiellement de coton, une fibre végétale qui entoure les graines de cotonniers. Tout comme les matières que je viens déjà de passer en revue, le coton présente aussi des inconvénients. En effet, il peut rétrécir, perdre de ses couleurs ou encore moisir lorsqu’il est stocké dans un endroit humide. Jusqu’alors, je n’ai pas à m’en plaindre pour ce pull qui garde sa couleur éclatante. 

 

   Encore un pull acheté à Mango ! Cette enseigne propose des vêtements et des accessoires qui correspondent à mon style. Bon, du point de vue du budget, j’attends toujours qu’il y ait les soldes ou des remises exceptionnelles. Quand je vois un pull affiché au prix de 49,99 €, aussi joli soit-il, il n’est pas question que je dépense une telle somme. A partir du moment où il m’en faut trois ou quatre de plus, je ne suis pas prête à faire un effort. En lisant l’étiquette, je suppose que vous comprenez pourquoi ce pull brodé sur la partie haute tient bien chaud. Allez, je vous aide. Il est composé de 15% de laine. Et je ne vous parle même pas de la couleur, j’adore le vieux rose.

 

    Je change d’enseigne pour le prochain pull puisque celui-ci a été acheté à Primark. Pendant un temps, j’allais régulièrement y faire un tour et repérer une pièce ou deux. Il m’est arrivé d’acheter des pyjamas chauds ou encore une jupe à des prix abordables et de qualité. Depuis près d’un an, les prix ont augmenté et la qualité a diminué. Il suffit de toucher un article pour s’en rendre compte. Ce pull effet velours est composé à 100% de polyester. Malgré cet aspect velours, il ne tient pas très chaud.

 

    Je quitte Primark pour aller à Kiabi, une enseigne que je ne fréquente presque jamais et qui propose pourtant des articles de qualité. Je pense tout de suite à mes deux jeans fleuris qui me suivent d’année en année tout comme ce pull avec un effet volanté. Ce pull est composé à 100% d’acrylique du coup, il ne tient pas très chaud. Comme je l’ai fait remarquer plus haut, l’acrylique est une matière qui a une tendance à boulocher. J’avoue que je n’ai pas à m’en plaindre, il vieillit très bien et je suis contente de le retrouver chaque hiver.

 

   Après Kiabi, je retourne au centre commercial des Docks Vauban au Havre pour aller à Bershka. J’avais envie de vous présenter ce petit pull tout doux que je porte plutôt en automne. Pour commencer, il a des manches mi-longues qui arrivent au niveau du coude. Comme il est composé de 100% de polyester, il ne tient pas chaud.

 

    Allez, je fais une exception en vous parlant de ce dernier article puisqu’il s’agit d’un gilet acheté à Camaïeu. J’avoue que je ne le porte pas souvent malgré sa jolie couleur et cet effet moucheté car il n’a pas de bouton. Je suis habituée aux pulls et aux gilets boutonnés qui se tiennent bien sous un manteau ou une veste par exemple. Avec un jeans et un top à petites manches le plus basique possible, j’enfile ce gilet et je suis prête à partir. C’est la tenue parfaite pour le printemps lorsque les températures commencent à remonter l’après-midi. Ce gilet est quand même composé de 25% de coton, une fibre que je viens d’évoquer plus haut. Je sens qu’il peut durer dans le temps.

     J’espère que cet article vous aura plu et vous aura permis d’en apprendre davantage sur les matières de vos vêtements. Maintenant, vous n’avez plus qu’à aller lire les étiquettes de vos pulls.

Livre “Un fabuleux voyage”

   Bonjour et bonne lecture !

   Je commence enfin à me sentir engagée dans la période de Noël. Bon, le terme “engagée” est un peu fort mais vous voyez peut-être ce que je veux dire. Je vais dire que j’ai eu beaucoup de mal à rentrer dans cette période magique pleine de jolies couleurs. Il a suffi de deux téléfilms de Noël (rien que ça) diffusés un samedi pour que je me sente en phase avec Noël, prête à acheter de la déco et des cadeaux, à consulter des sites qui proposent des articles de Noël comme de la vaisselle par exemple. D’ailleurs, j’ai repris mon tableau en strass acheté à Action il y a plusieurs semaines maintenant. Le bonhomme de neige commence à bien être recouvert de tous ses strass blancs. Je vais bientôt m’atteler aux deux sapins qui se composent de strass brillants. Et j’ai envie d’avancer dans tous mes loisirs créatifs, que ce soit de la broderie, de la couture ou encore du coloriage. A propos de la broderie, comme je n’ai qu’un modèle ou deux d’avance, je vous présente ce livre de broderie qui m’a été offert et qui s’intitule “Un fabuleux voyage”. Ce livre écrit et illustré par Hélène Le Berre fait l’objet de mon article d’aujourd’hui. Si cet article vous intéresse, je vous invite à lire la suite.

 

    Avant d’entrer dans le vif du sujet, je tiens à apporter une précision. Je plaisante en disant que je n’ai qu’un modèle ou deux d’avance. J’ai une valise pleine de kits, sans compter les modèles dans les magazines que j’ai envie de broder. Et dire que j’aurais bien passé une commande sur le site La Maison du Canevas et de la Broderie ! Est-ce que j’ai vraiment les idées claires ?

 

    En le feuilletant de manière plus approfondie, ce livre se divise en trois parties. La première partie consiste en une présentation rapide de ce livre et l’apparition de Prudence, personnage qui guide le lecteur au fil des pages. Ce personnage est déjà présent sur la couverture, voyez-vous cette petite fille qui se protège sous son parapluie ? Si je me réfère à la carte, elle a vraiment parcouru le monde entier.

 
 
 

    La deuxième partie tourne autour des différents modèles de point de croix selon l’endroit du monde dans lequel se trouve ce personnage haut en couleurs et curieux de tout. On dirait même qu’elle n’a peur de rien sur ces photos à la façon d’une carte postale. Il faut quand même prendre le temps de s’y arrêter quelques secondes. Pour la première photo, on dirait que Prudence est en train d’imiter Mary Poppins. Comme par hasard, la scène se déroule à Londres. Pour la troisième photo, je ne suis pas certaine que La Joconde exposée au musée du Louvre ressemble à ça sinon, elle n’aurait peut-être pas eu autant de succès. Et est-ce que son regard nous suit ?

 
 

    La troisième partie s’intéresse à la partie technique, autrement dit à la réalisation de tous ces modèles pas à pas. Sous chaque modèle est noté le numéro de la page à laquelle se référer. Chaque broderie qui comporte une explication très détaillée est réalisée avec des fils de la marque DMC, fils que j’utilise (je dois avoir deux boîtes remplies de ces fils achetés à Bouchara ou à Mondial tissus). Moi aussi je me suis munie de mon appareil pour prendre toutes ces jolies photos.

    J’espère que cet article vous aura plu et que vous aurez envie de réaliser de jolis modèles à votre tour.

Tout le matériel pour dessiner

   Bonjour et bonne lecture !

   Ce dimanche, j’ai bien profité de ma journée. Je me suis bien reposée, j’ai trié des papiers qui traînaient sur ma console et j’ai organisé mon planning de blog. J’utilise un planner achété à Action qui me permet de noter les grandes lignes. J’utilise également un cahier qui se termine bientôt pour y inscrire des détails. Par exemple, lorsque j’ai voulu rédiger un article consacré à la sélection de meubles Maisons du Monde, j’ai noté le genre de meuble et le prix. Lorsque je sors ce cahier, j’ai ma ligne directive. Je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire. Pour l’article du jour, je vais me concentrer sur le matériel à avoir lorsqu’on veut dessiner. Si j’ai besoin d’un renseignement, j’ai une source sûre à la maison. Et si cet article vous intéresse, je vous invite à lire la suite.

 
 

   Je commence tout naturellement par les feuilles. Il existe différents formats et différents grammages, vous allez vite vous en rendre compte. J’ignore si mes deux exemples sont flagrants pour évoquer cette différence, étant donné que mes photos sont retaillées aux mêmes dimensions. La marque de papier à dessin la plus connue est la marque Canson. Elle est aussi spécialisée dans les papiers calques. En fait, chaque type de produit correspond à une couleur de pochette en particulier. La pochette du papier à dessin est verte (elle l’était déjà quand j’allais à l’école), la pochette du papier calque est bleue et la pochette du papier millimétré est orange. Dans une pochette dite “traditionnelle”, elle contient 12 feuilles. En ce qui concerne les feuilles de la deuxième photo, elles sont au format raisin. On parle également d’une grappe de raisins (ou 8 raisins) lorsqu’une feuille mesure 400 x 260 cm (il faut avoir de la place sur ses murs pour accrocher une telle œuvre).

  

    Je poursuis avec les crayons à papier, l’autre indispensable afin de réaliser de véritables chefs-d’œuvre. Avant de s’y intéresser de plus près, Nicolas-Jacques Conté (1755-1805) est l'inventeur d'un crayon à papier dont la mine est un mélange de graphite ordinaire et d'argile, cuit à haute pression. Tout comme les feuilles, les crayons se distinguent par leur dureté ou leur noirceur. Vous avez déjà remarqué qu’une lettre et un chiffre sont inscrits sur le crayon. Faites le test et vous verrez la différence. En fonction de votre besoin, choisissez la dureté de la mine : 4H (dure) > 3H > 2H > H > F (fine) > HB qui se traduit par “hard bold” (moyenne) > B > 2B > 3B > 4B (tendre) . Plus les crayons sont gras, plus ils sont difficiles à gommer.

 

    Justement, il manque une gomme à ce matériel de base. Je vous conseille d’utiliser des gommes blanches comme celles montrées en photo et non une gomme double couleur (rose d’un côté, bleu de l’autre côté). Si vous allez au Canada et entrez dans une papeterie, vous trouverez des effaces. C’est le terme consacré dans ce pays pour désigner une gomme. Vous remarquerez que les gommes blanches sont toujours recouvertes d’un papier ou d’un carton léger avec un motif, même en achetant la gomme la moins chère. Vos doigts ne sont pas en contact direct avec la gomme. Certaines gommes sont maintenues dans un demi-cache en plastique, il me semble que Maped propose ce système. Pour la petite histoire, Edward Nairne propose à Londres en 1770, du latex au prix très élevé de trois shillings le petit cube d'un demi-pouce. Un scientifique et chimiste britannique, Joseph Priestley leur trouve une utilité : « J'ai vu une substance parfaitement adaptée à l'effacement des marques de crayon de graphite sur le papier ».

 
 

    Vous allez sûrement penser que ce n’est pas le plus indispensable dans cette liste de matériel or vous vous rendrez vite compte qu’elle deviendra votre meilleur ami. Je veux effectivement parler de la pochette. D’ailleurs, si vous consultez une liste de fournitures scolaires pour un enfant au collège, vous verrez que la pochette à dessin figure dedans. Bon, peut-être pas de ce format-là ! J’avais une pochette à dessin plus petite mais toujours dans ces mêmes tons de vert et de noir. Je crois bien qu’elle traverse les années sans jamais se démoder.

 

    Que pensez-vous de ce kit ? Hormis la règle, vous disposez de tout le matériel nécessaire, y compris le taiile-crayon que je n’ai pas évoqué dans cet article. Et si vous ne savez pas quoi dessiner, peut-être que Minnie et Mickey vous inspireront avec leur jolie tenue.

    J’espère que cet article vous aura plu. Maintenant, j’attends que vous me montriez vos œuvres.

Mon deuxième tiroir de commode

   Bonjour et bonne lecture !

  Comment occupez-vous votre temps libre ? Pour ma part, je m’attelle à mes loisirs créatifs comme ce tableau de Noël en strass qui avance peu à peu, je lis et je range. Si vous faisiez le tour de ma chambre, vous vous diriez qu’elle contient beaucoup trop de choses. J’adore les coussins (je ne sais pas combien j’en possède), j’adore la décoration… Et j’ai de nombreux meubles. En effet, j’ai un lit, deux chevets, une armoire, une commode, une console qui me sert de bureau, une chaise de bureau, un range-chaussures dans lequel j’y range des livres et du bazar, un petit meuble 4 tiroirs, un tabouret de bar et une table de bar ! Rien que ça ! Et encore, je ne compte pas les deux poufs coffres. Aujourd’hui, je m’intéresse à la commode et plus particulièrement au deuxième tiroir.

 

   Pour commencer, je vous montre une vue d’ensemble de cette fameuse commode achetée à But en même temps que le reste de la chambrée. Cette commode compte quatre tiroirs. Dans le dernier, c’est un peu le tiroir fourre-tout. Je retrouve mes affaires comme les notices de mes appareils mais ce n’est pas le plus ordonné. Dans le troisième tiroir, j’y range mes pyjamas que j’intervertis selon les saisons. J’aimerais bien dégager ce quatrième tiroir parce que tous mes pyjamas d’hiver ne rentrent pas dedans.

 

   J’attire votre attention sur les poignées de cette commode qui ressemble beaucoup à celles des meubles présentés tout récemment dans un article consacré à une sélection Maisons du Monde. Tous les tiroirs de mes meubles, aussi bien les tiroirs de mon armoire que ceux placés sous mon lit, s’ouvrent avec ces poignées.

   Voilà à quoi ressemble ce tiroir avant que je ne range mes autres paires de chaussettes. Tout comme le dernier tiroir, vous aurez sûrement remarqué qu’il contient autre chose qui n’a pas de rapport.

 

   Je veux bien sûr parler de cette rangée de CD tout à gauche. Dans mon ancienne commode, un petit tiroir était justement dédié à ces CD alors que j’en avais moins. On y trouve les mêmes artistes comme le groupe irlandais The Corrs. J’ai acheté ce CD de Cécilia Cara il y a quelques mois et je peux vous dire que je l’écoute en boucle. C’est une artiste que je suis depuis qu’elle a interprété Juliette dans la comédie musicale, sans compter le compte Instagram. J’avais rédigé un article concernant cette femme de grand talent, je vous mets le lien ici si ça vous intéresse  : https://blogdemissidees.blogspot.com/2021/06/fete-de-la-musique-2021-cecilia-cara.html.

   

    Je continue à vous montrer ce tiroir avec la pile de collants et de leggings. J’avoue que c’est la période que je déteste le plus du point de vue des collants car j’en déchire de nombreuses paires. Je n’ai pas encore trouvé de collants indéchirables. Je passe ensuite à mes piles de chaussettes qu’il était temps de remplir. J’ai troué beaucoup de chaussettes Betty Boop avec une paire de chaussures que je ne possède plus. Et impossible d’en trouver de nouvelles paires dans les magasins. En ce qui concerne les autres chaussettes, je les mets plutôt l’été. Vous apercevez également des chaussettes plus épaisses que je porte plutôt l’hiver pour un moment cocooning.

 
 

    Afin de mieux organiser mes paires de chaussettes par épaisseur, j’enlève le sous-main qui protège ma console et je les répartis toujours en faisant des piles. Certaines paires ont été achetées à Action comme la paire rose avec son effet tigré ou encore la paire rayée prise toute seule en photo. En ce qui concerne les autres paires, certaines ont été achetées à Auchan et d’autres à La Halle qui offre de jolis modèles. Je n’ai encore jamais acheté de chaussettes à Primark, il faudra que je les teste un jour prochain.

 

   Maintenant que toutes les chaussettes ont retrouvé leur place, qu’en pensez-vous ? C’est quand même plus ordonné que sur la première photo.

    J’espère que cet article vous aura plu et vous aura peit-être donné envie de réorganiser vos tiroirs.