samedi 10 mai 2025

Mes repérages livresques pour cette année 2025

Bonjour et bonne lecture !

En ce joli mois de mai, j’ai envie de me lancer dans de nombreuses activités créatives et de me plonger davantage dans la lecture. Contrairement à ce que vous pourriez penser, il ne s’agit pas du mois de mon anniversaire. Ayant utilisé l’adjectif  “joli” pour qualifier ce mois, cette pensée me viendrait à l’esprit. Pour les curieux, le mois de juillet marque mon anniversaire. Cet après-midi, j’ai remis un peu d’ordre sur ma console. Je ne peux pas écrire mes articles ou les préparer en notant des idées si ma console est en désordre. Mon cerveau a besoin de calme et d’ordre pour être productif (et ne pas écrire des tonnes de bêtises dans mes articles). Aujourd’hui, j’ai envie de vous parler lecture mais sous un angle différent par rapport à l’article paru récemment. Cette fois, je vais me concentrer sur les sorties livresques en 2025 dont j’entends parler et dont l’histoire m’intrigue. Donc, si cet article vous intéresse, je vous invite à lire la suite.

Avant d’entrer dans le vif du sujet, sachez qu’il y en a pour tous les goûts, moi-même étant une personne ouverte aux romans, aux polars, aux mangas…

 

Quand j’ai vu cette sortie livresque, je sais que je vais passer un bon moment en compagnie d’Hannah Swensen à Lake Eden. En effet, Joanne Fluke rempile pour un tome 12 avec “Meurtres et chaussons aux pommes”. Si, comme moi, vous aimez les romans policiers qui font du bien, je ne peux que vous recommander cette série dont le premier tome est paru en 2001. Et n’hésitez pas également à profiter des recettes aussi détaillées que dans un livre classique. Je vous mets le résumé du tome 12 juste ici : “La vengeance est un plat qui se mange froid. Tous les habitants de Lake Eden attendent avec impatience le gala de charité. À commencer par Hannah Swensen, la pétillante propriétaire du Cookie Jar, la meilleure pâtisserie de la ville. C'est en effet une très belle journée qui s'annonce avec, au menu, spectacle de magie et chaussons aux pommes à volonté. Hannah a bien besoin de se détendre. Son amour de jeunesse, Bradford Ramsey, un séducteur impénitent, est de retour dans la région, et la jeune sœur de notre héroïne, Michelle, n'est pas insensible à ses charmes. Même son chat Moshe n'arrive pas à la réconforter : Hannah est en colère, très en colère, à tel point qu'elle en vient à souhaiter la mort de ce pervers narcissique qui sème la pagaille dans sa famille et dans sa vie. À sa grande surprise, son vœu ne tarde pas être exaucé : on retrouve le corps de Ramsey au beau milieu du gala, avec un chausson aux pommes du Cookie Jar dans une main. Même les pires individus méritent justice : Hannah décide donc de mettre la main à la pâte et d'enquêter sur ce meurtre qui la ravit. Entre les nombreuses maîtresses de la victime et les maris de celles-ci, les suspects sont nombreux et la partie s'annonce difficile !” Bon appétit (vous ne verrez plus un chausson aux pommes de la même manière).

 

Le prochain roman dont je vais vous parler ne sera sans doute pas une surprise vis-à-vis de mon intérêt de lecture. En effet, le roman “Rencontres au parc Hinode” a été écrit par Michiko Aoyama, la célèbre autrice japonaise des livres à succès “Un lundi saveur matcha” et “Un jeudi saveur chocolat”. J’ai été conquise par mes deux précédentes lectures évoquées dans un article, je vous mets le lien ici si ça vous intéresse : http://blogdemissidees.blogspot.com/2025/04/mes-emprunts-la-bibliotheque-et-les.html. J’ai hâte de découvrir cette histoire où la couverture révèle une nouvelle fois un chat. Je vous mets le résumé ici : “Dans la banlieue de Tokyo, alors que l’hiver laisse place au printemps, les résidents de l’immeuble Advance Hill découvrent leur nouveau logement. Sous le bon augure du passage de saison, tous croient en la promesse d’une nouvelle vie dans ces appartements flambant neufs. Mais les semaines s’écoulent, sans apporter la seconde chance dont ils rêvaient... jusqu’à ce que le hasard et un soupçon de magie mettent sur leur route le parc Hinode. Selon une légende du quartier, le vieil hippopotame en béton qui s’y cache aurait des pouvoirs thérapeutiques : il suffirait de le toucher pour guérir des maux les plus douloureux. Les différents voisins viennent dès lors chercher du réconfort auprès de cette étrange statue. Et si poser des mots sur les peines qui les hantent leur permettait enfin de s’ouvrir au bonheur qui n’attend plus qu’eux ?”.

 

Si vous cherchez un roman policier avec un univers décalé, je ne peux que vous recommander “Les dames de Marlow enquêtent”. Judith Potts, Suzie et Becks, trois britanniques au caractère bien différent, cassent leur train-train en enquêtant. Etrange, les cadavres tombent comme des mouches sur leur passage. Impossible de résister à cette envie de fouiner et de démasquer le coupable. Je vais passer un bon moment en leur compagnie à travers ce tome 4 intitulé “Meurtres sur la Tamise” écrit par Robert Thorogood. Je vous mets ici les tomes précédents si vous souhaitez vous plonger dans cette série :
- Tome 1 : “Mort compte triple”
- Tome 2 : “Il suffira d’un cygne”
- Tome 3 : “Poison en huis clos”
A présent, je vous mets le résume du tome 4  :
“La Tamise, qui traverse la petite ville de Marlow, à l’est de Londres, n’est définitivement pas un long fleuve tranquille. Le Marlow Belle, un bateau de plaisance loué pour une soirée organisée par le club de théâtre local, rentre au port avec un convive de moins. Le corps de ce dernier est bien vite retrouvé criblé de balles sur le rivage. La victime est l’irascible Oliver Beresford, fondateur du club, avec qui chaque membre semblait avoir maille à partir. Les Dames de Marlow – qui n’en sont pas à leur premier meurtre – vont mettre au service de sa veuve leur talent pour recueillir les commérages. Sur fond de rivalité et de jalousies cachées va se dérouler une enquête que n’aurait pas reniée Agatha Christie !”

 

Lorsque le drame est survenu, j’étais née. Ce 31 août 1997 marque la date de décès de la princesse Diana, une femme qui a œuvré pour le bien. Je m’intéresse rarement aux biographies, je ne vous présente pas ce genre dans mes articles consacrés aux emprunts à la bibliothèque (je vous mets juste ici le plus récent : http://blogdemissidees.blogspot.com/2025/04/mes-emprunts-la-bibliotheque-et-les.html. Lorsque j’ai vu ce livre intitulé “Mademoiselle Spencer”, je vais le mettre dans ma pile à lire. Le destin de cette femme m’a toujours intrigué et, grâce à ce livre écrit par Christine Orban, j’espère la découvrir sous un autre jour. Je vous mets le résumé ici : “De son enfance pleine de rêves à sa disparition brutale, Diana Spencer a connu le destin fulgurant d’une héroïne tragique. Mais qui se cachait derrière la princesse trahie et bafouée ? Quels mots n’a-t-elle pas pu dire ? En lui prêtant sa plume pour comprendre de l’intérieur ses non-dits, Christine Orban ressuscite la voix d’une femme qui ne demandait qu’à être aimée. Sacrifiée sur l’autel de la monarchie, Lady Di finira malgré tout par se libérer de ses chaînes.Savant jeu de miroirs, déchirante confession, le portrait intime d’une femme comme les autres mais qui restera à jamais « Mademoiselle Spencer ».

 

Je ne sais pas pourquoi mais je ne m’intéressais pas à la littérature asiatique, jusqu’au jour où j’ai découvert les romans de Michiko Aoyama. Ce fut comme un déclic. Depuis, je la considère dans mes lectures prochaines à la bibliothèque. Voilà pourquoi je suis intriguée par ce roman intitulé “Une saison à l’atelier de poterie” que j’ai beaucoup vu passer sur les réseaux. Yeon Somin tend vers la pensée positive et le bien-être à travers les choses qui nous plaisent. Je vous mets le résumé ici : “Nuits blanches à répétition, week-ends inexistants… Après des années passées à travailler d’arrache-pied, Jeongmin claque la porte de la chaîne de télévision qui l’emploie et s’enferme chez elle pendant des mois, sans contact avec le monde extérieur. Un chaud matin d’août, alors qu’elle ne supporte plus d’observer les murs vides de son appartement à longueur de journée, elle s’aventure dehors et pousse par hasard la porte de l’atelier de poterie du quartier. Accueillie par l’odeur de l’argile, la lumière tamisée et les effluves de café, Jeongmin se sent revivre. À mesure que la propriétaire l’initie à l’art ancestral de la céramique, elle découvre le plaisir de transformer l’argile de ses mains. Et tout comme ses créations révèlent leur beauté à la chaleur du four, le coeur de Jeongmin se réchauffe peu à peu au contact des habitués de l’établissement…”

 

Parfois, j’adore sortir des sentiers battus et me tourner vers des auteurs et des univers que je n’ai pas l’habitude d’appréhender. Je viens de vous en donner un exemple avec le livre que je viens de citer. Cette fois, j’ai envie de consacrer ma lecture autour du roman intitulé “Villa Gloria”. Dans le résumé que je vais vous insérer juste après, j’aime déjà les personnages. Je ne m’identifie pas à eux mais ces personnages sont émouvants à travers leur histoire. D’après ce que j’en lis, Serena Giuliano a su créer une atmoshpère à la fois rasurrante et dérangeante. Je vous mets le résumé ici : “À Villa Gloria, Iris et sa mère, qui a donné son nom à sa maison, veillent à ce que chaque client se sente comme chez lui. En cette semaine d'avril, les nouveaux venus promettent un cru d'exception. Gregorio est le roi des râleurs. Rien ne trouve grâce à ses yeux. Valentina et sa filleule, Bianca, ont l'air un peu cabossées – surtout la petite, légèrement obsessionnelle. Doria et Edoardo forment un couple très discret. À se demander ce qu'ils ont à cacher... Quant à Carla, allez savoir pourquoi, elle a fait vœu de silence. Mais Gloria, qui aime gentiment se mêler des affaires de ses hôtes, saura percer les mystères de chacun. Ils sont de passage, ne se connaissent pas, mais ont décidé par hasard de poser leurs valises une semaine dans le même lieu. Ce qu'ils ignorent, c'est qu'en plus du gîte et du couvert, Villa Gloria offre une bonne dose de magie – c'est compris dans le forfait !”

 

Est-il nécessaire que je vous présente cette autrice de grand talent ? Si j’évoque comme titre “Il est grand temps de rallumer les étoiles”, est-ce que vous êtes capable de la nommer ? Toujours pas ? Je veux parler de Virginie Grimaldi dont chaque roman est attendu avec une grande impatience. Si je peux le formuler ainsi, elle fête ses 10 ans de carrière cette année puisque son premier roman “Le premier jour du reste de ta vie”  où on sent un profond bouleversement dans la vie d’un personnage est paru en 2015. Ce titre fait tout de suite penser à une chanson d’Etienne Daho. En 2025, elle revient avec ce roman intitulé “Les heures fragiles”. Ce nouveau roman est l’occasion de me plonger dans une prochaine lecture pleine d’espoir. Un jour, il faudra que je liste tous les titres et que je lise tous les romans. Je n’en ai lu qu’un jusqu’alors. Je vous mets le résumé du nouveau roman ici : “Diane a toujours eu des rêves simples. Un mari, deux enfants, un métier qui lui plaît, c'est plus que ce qu'elle osait espérer. Le jour où Seb la quitte, son monde vacille. Absorbée par sa peine, elle ne voit pas que le drame se joue ailleurs. Tout près d'elle, dans cette chambre qui fait face à la sienne, les rires de sa fille s'épuisent. Lou a seize ans, le mal de grandir, et son premier chagrin d'amour lui arrache plus que des larmes. Quand Diane comprend, elle est prête à tout pour l'aider. Y compris à retourner vers un passé qu'elle avait fui. Ensemble, mère et fille marchent sur un fil. Sous leurs pas, le torrent de la vie gronde et emporte avec lui les heures fragiles”.

 

Encore une fois, je me tourne vers un auteur qui fait partie de la culture française et dont chaque roman est attendu avec une grande impatience, à la manière de Viriginie Grimaldi. Cette fois, je ne vais pas vous poser tout un tas de questions, rassurez-vous. L’auteur dont je veux parler s’appelle Marc Levy dont le premier roman “Et si c’était vrai…” est paru en 2000. Sa plume est toujours aussi aiguisée, 25 ans plus tard avec ce roman “La librairie des livres interdits”. Je vous mets le résumé ici : “Mitch, libraire passionné, est arrêté un matin pour un crime impensable : il a transgressé la loi en vendant des livres interdits. Après cinq années de prison, il n'a qu'un désir, retrouver sa liberté et sa librairie. Mais le destin en décide autrement. Le même jour, Mitch croise le procureur qui l'a fait condamner et rencontre Anna, une jeune chef qui pourrait bien être la femme de sa vie. Que faire quand on est pris entre une irrépressible envie de vengeance et une irrésistible envie d'aimer ? Peut-on rêver d'un avenir sans s'être acquitté du passé ?”

 

Pour ce dernier roman parmi mes repérages livresques de 2025, il circule beaucoup sur les réseaux sociaux accompagné de critiques positives. Il s’agit du roman “Petits bonheurs à tous les étages” écrit par Sandra Martineau.Tout comme Virginie Grimaldi, la femme reprend sa vie en mains et tire tout le monde vers le haut, y compris le lecteur qui s’émerveille devant un tel courage, une telle détermination. Cette femme doit s’en sortir, elle n’a pas le choix. Je vous mets le résumé ici : “Joanna, la trentaine pétillante, mère de trois enfants, coule une vie tranquille et un peu ennuyeuse dans un quartier résidentiel, entre dîners mondains et après-midi au golf. Alors, le jour où, sous ses yeux, son compagnon, richissime financier, est arrêté pour escroquerie, c’est un tsunami qu’elle affronte.Tous les biens de la famille sont saisis. Plus de revenus, plus de maison. Joanna doit se réfugier de l’autre côté de la ville, au cœur des cités… terre de tous les fantasmes. Logée avec ses enfants dans un petit appartement, elle va pourtant, à chaque étage de son immeuble, faire des rencontres qui bouleverseront sa vie. Djibril, Raymond, Fatou… ses nouveaux voisins vont peu à peu changer sa vision du monde. Et lui apporter une énergie insoupçonnée”.

À cette pile à lire qui touche des univers différents, j’ai envie d’ajouter une bande dessinée. J’en emprunte de temps en temps. Si vous me suivez depuis un moment, vous savez que j’ai été charmée par la bande dessinée “Châteaux Bordeaux” qui, comme son nom l’indique, aborde le thème viticole. Cette fois, je reviens vers des héros que tout le monde connait, ne serait-ce que de nom. Il s’agit de la bande dessinée intitulée “Sherlock Holmes contre Arsène Lupin”. D’après ce que je lis, il s’agit du tome 1 intitulé “La quête d’éternité”. D’autres tomes suivront, ce qui signifie d’autres lectures passionnantes en perspective. Comme pour les romans, je vous mets le résumé ici : “Deux génies, deux méthodes, une confrontation explosive. Sherlock Holmes, le détective logique et implacable, et Arsène Lupin, le gentleman cambrioleur audacieux, se retrouvent face à face dans une course effrénée.À travers mystères et trahisons, les deux rivaux sont contraints de s’allier pour suivre la trace d’une organisation se réclamant de Moriarty. Entre l’intelligence froide de Holmes et l’ingéniosité flamboyante de Lupin, qui sortira vainqueur de ce duel où chaque geste, chaque mot, chaque coup est un défi lancé à l’autre ?”

J’espère que cet article vous aura plu, dites-moi dans les commentaires si certains livres viendront rejoindre votre pile à lire dans les prochaines semaines, voire les prochains mois.

A bientôt !

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