vendredi 27 avril 2018

Parfums

     Dans mon article précédent, je parlais d’un livre écrit par Megan Hess et retraçant le parcours de Coco Chanel, de l’orphelinat dans lequel elle a passé son enfance jusqu’à ses premiers pas dans le monde de la mode. Mais si son nom est connu dans le monde entier, c’est surtout par son parfum, le numéro 5. Eh bien, j’ai décidé d’aller plus loin en vous montrant mes parfums. Cette petite boîte regroupe des échantillons trouvés dans des magazines ou reçus dans ma boîte aux lettres suite à une inscription. Ces échantillons se présentent soit sous la forme d’une bouteille, soit sous la forme d’une languette à soulever d’un carton. Je ne suis pas une grande adepte de ce deuxième format puisqu’il ne permet pas de bien en profiter. Bref, comme j’en possède quelques-uns, je les ai rangés dans cette boîte et je les atteins au fur et à mesure.

        Ma photo n’est pas très belle mais, comme le flacon commence à être bien vide, il est transparent. Donc, ce parfum dont l’écriture n’est pas très lisible est Olympéa de Paco Rabanne. J’ai commencé à l’avoir sous la forme d’un échantillon et je l’ai tout de suite adoré. Je n’aime pas les parfums agressifs au niveau de l’odeur et il répond parfaitement à ce critère. Mon frère m’a offert le grand format au moment de mon anniversaire et, comme j’en mets tous les jours, la bouteille touche à sa fin.

         Et voilà, comme je dirais, son petit frère. Je l’ai racheté à Nocibé où j’ai bénéficié d’une réduction, comme j’ai la carte de fidélité. Je ne l’ai pas encore ouvert or, apparemment, la bouteille a été changée car elle existerait déjà. Ce genre de contenant a été créé il y a des années. Du coup, pour que la marque ne soit pas accusée de plagiat, le contenant a été redessiné. C’est la vendeuse du magasin qui m’a raconté cette histoire.

          Ce parfum complète ma préparation du matin, après le maquillage. Maintenant que j’ai du parfum chez moi, je ne sors pas sans en mettre. Un peu comme une routine en quelque sorte !

mardi 24 avril 2018

Coco Chanel, l’univers illustré d’une icône de la mode

     Tout récemment, je suis allée me promener à Cultura. J’ai la chance que ce magasin ait ouvert ses portes pas loin de chez moi. Le 28 mars marquait l’ouverture officielle de Cultura à Montivilliers (ville de Seine-Maritime). Par ailleurs, cette date signifiait également l’implantation de Maisons du Monde dans cette zone commerciale.
     Pour en revenir à Cultura qui affiche une grande superficie, j’ai fait le tour des rayons et ai acheté ce livre concernant la vie de Coco Chanel, de son enfance au lancement de ses collections et de son célèbre parfum. Ce livre qui coûte 20 euros est signé Megan Hess et est publié aux éditions L’Imprévu. J’ai déjà évoqué cette auteure qui écrit toujours avec cette qualité rare. Dans un prochain article, je reviendrai vers cette écrivaine aux talents multiples.

      J’ai choisi d’illustrer mon article avec quelques photos bien représentatives de l’univers de Coco Chanel. Je crois que cette photo en est un très bon exemple. Il s’agit du fameux parfum numéro 5 vendu dans le monde entier. Personnellement, je l’ai vu dans les grandes parfumeries or je n’ai jamais eu l’occasion de le tester chez moi, même sous un petit format. Mais, à ce propos, d’où vient ce nom? Deux hypothèses ont été mises en avant. La première est qu’il s’agit de l’échantillon numéro 5 sur un ensemble de deux séries (de 1 à 5 et de 20 à 24). La seconde est que Coco Chanel aurait répondu que, comme elle sortait sa collection en mai qui se trouve être le cinquième mois de l’année, ce numéro lui porterait chance.

     Je trouve que cette photo est une nouvelle fois la représentation visuelle de Coco Chanel. Ces deux lettres entrelacées forment un monogramme qui est appliqué sur tous les articles, y compris essentiellement sur les sacs à main. N’oublions pas que ces lettres reprennent bien évidemment son nom mais surtout ce surnom de Coco qui vient, soit de la scène, soit de son père. Bref, si on va plus loin dans les explications, les lettres rappelleraient les vitraux de l’abbaye où elle passa son enfance.

     Cet ouvrage est bien entendu une biographie de Gabrielle Chanel mais ce format attire plus le regard. Si je continue à ce rythme, c’est-à-dire à acheter tous les livres de Megan Hess, je vais bientôt pouvoir installer une étagère consacrée.

vendredi 20 avril 2018

Petits chats en strass

    Avec cet article, je reviens sur les loisirs créatifs qui me prennent beaucoup de temps. J’aime varier les activités mais en finir une est une sacrée satisfaction. D’ailleurs, parmi ces loisirs terminés, en voilà encore un auquel j’ai consacré de nombreuses heures.

 

     Cet achat a été effectué sur le site de la Maison du Canevas et de la Broderie. Pour cette fois, je n’ai pas ajouté un point de croix dans ma collection ou liste des choses à faire. Dans un article précédent, j’ai montré des cartes et un renard en strass. Donc, pour en revenir à ce kit qui m’a coûté 36 euros, il contient une feuille préimprimée, une coupelle, un stylet et 22 couleurs. Pour plus de pratique, j’ai rangé les couleurs dans des boîtes en plastique trouvée à C’2 euros. Le site vend également des boîtes afin de trier les strass or elles sont assez chères. Maintenant qu’elles sont vides, je ne sais pas encore ce que je vais y mettre à l’intérieur.

     Voilà à quoi ressemble ce tableau fini. De mignons petits chats vont décorer un mur d’une pièce. J’ai profité de mes moments de liberté pour le terminer enfin. Je suis assez satisfaite du résultat car il correspond à ce qui est présenté sur le site. Or, pour encadrer cette toile, j’ai dû acheter une feuille carrée à Cultura au prix de 99 centimes qui a été découpée au centre. Cette feuille sert à cacher les couleurs correspondant aux symboles. Elle équivaut à un passe-partout.

      Pour peaufiner ce tableau, j’ai acheté un cadre chez Top Discount. Je l’ai payé 4,50 euros. Je ne suis pas une passionnée de la déco noire or cette couleur met davantage en avant les chats. C’est comme si ils sortaient du cadre.
      Comme je suis allée à la Foire de Rouen et qu’un stand vendait des tableaux en strass, j’en ai acheté un autre. Celui contient les mêmes fournitures nécessaires à sa réalisation. La seule différence est le nombre de couleurs puisque ce kit en compte 20, déjà triées dans les fameuses boîtes en plastique. D’ailleurs, ce tableau est déjà commencé.

      Voilà encore un article qui change de sujet. Les activités en strass sont une véritable source de détente, ce qui fait le plus grand bien.

mardi 17 avril 2018

Pots à maquillage

     Je ne m’en cache pas, quand je ne travaille pas, je passe du temps sur Internet. Je n’y consacre pas tout mon temps libre mais j’aime regarder des vidéos sur Youtube ou découvrir de nouvelles épingles sur Pinterest. En ce qui concerne le maquillage, certains rangements laissent sans voix, tellement il y a de produits pour toutes les parties du visage. Bien que j’en achète un peu plus, je n’en ai pas autant. Cela dit, en avoir des quantités phénoménales ne m’intéresse pas vraiment parce que je ne profiterai pas de toutes mes palettes ou de tous mes produits à l’individuel. Au moins, comme je sais ce que j’ai, je me sers de tout. Je ne serais pas contre avoir quelques produits en plus mais pas de là à ressembler à un magasin. Bref, quand je parle maquillage, je parle aussi des accessoires pour les appliquer. Sans oublier les contenants.

 

        Ce premier pot à pinceaux de la marque Natives a été trouvé à Desjardins, une jardinerie qui se situe à quelques kilomètres de chez moi. Les clients de ce magasin ressortent plutôt avec des plantes ou du terreau que de la déco. En réalité, je l’ai acheté parce que le modèle me plaisait. En plus, l’inscription rappelle le jeu Cluedo. Quand j’ai eu plus de pinceaux pour le teint, j’ai décidé de les ranger dans ce pot. Par rapport aux pinceaux, je n’ai pas un magasin de prédilection. Le bleu vient de Top Discount (un magasin où on trouve aussi bien des serviettes en papier que de la peinture), le blanc vient de Nocibé, ceux au manche rose gold viennent de chez Action, d’autres étaient fournis avec les palettes comme celui de Sephora…

  

       Ce deuxième pot a été acheté chez Gifi dans le rayon des accessoires pour la salle de bains. En théorie, c’est un gobelet pour y mettre sa brosse à dents. Comme le premier, je l’ai acheté parce que le modèle me plaisait. J’aime tout ce qui est rétro et les objets en lien avec la Tour Eiffel. Du coup, tous les critères étaient réunis. Il est resté un moment à traîner dans un tiroir mais j’étais certaine de lui trouver une utilité. Et c’est le cas aujourd’hui. J’y glisse tous mes pinceaux avec un double embout, un pour les yeux et un pour les lèvres. Je suis obligée de le laver régulièrement sinon, il y a un dépôt au fond or je n’arrive pas à ce qu’il soit net. Les parois ont accroché le maquillage.

       Petite parenthèse à propos de maquillage : comme mon mascara est bientôt fini, je suis allée chez Nyx pour me renseigner sur les produits que le magasin propose. C’est plutôt rare mais je ne suis pas satisfaite de ma visite. La vendeuse m’a montré les différentes brosses de mascara, jusque-là je suis d’accord, or après elle m’a fourré un panier dans les mains avec le produit qui me correspondait le mieux, soit disant. Je sais que chaque métier requiert des connaissances (dans le mien actuellement je ne sais pas tout) or la vente forcée ne doit pas être incluse dedans. Ce genre de comportement m’incite à me diriger chez Monoprix qui a aménagé un rayon Nyx depuis peu.

     Bref, après cette petite explication négative, j’espère que le reste de l’article plaira aux lecteurs et lectrices. A bientôt !

vendredi 13 avril 2018

Sacs à courses

     A l’heure actuelle, beaucoup de commerces ne donnent plus de sacs. Pour cette raison, j’en garde toujours un dans mon sac à main. Dans un précédent article, j’avais évoqué des sacs pliables Betty Boop or la couture du fond n’est pas résistante. Du coup, je ne peux pas y glisser grand-chose.

     Voilà déjà un premier sac qui peut être utilisé pour ses courses. En réalité, je le trouve trop joli pour cela. Et puis je n’ai pas envie de le salir. Je m’en sers comme rangement à la maison. C’est quand même plus facile à déplacer qu’un meuble. D’ailleurs, pour information, il m’arrive souvent de détourner un objet de son utilisation première. Et surtout, ça ne prend pas autant de place. Donc, ce sac que j’ai eu en cadeau s’achète chez Leclerc. Le modèle, qui représente une femme au pied de la Tour Eiffel, est identique des deux côtés.

 

        Voilà un deuxième sac qui peut être utilisé pour ses courses. Pour le moment, je n’ai rien rangé à l’intérieur mais, au moment opportun, je l’aurai sous la main. Il provient également de chez Leclerc. Je ne l’ai pas précisé plus haut mais ces sacs sont accrochés à côté des caisses, au cas où certaines personnes seraient intéressées. Contrairement au premier, les faces ne sont pas identiques. Par contre, on retrouve la ville de Paris avec la Tour Eiffel en décor de fond.

       Et voilà un troisième sac qui a été acheté par nécessité au moment de Noël. Je suis allée faire des courses chez Action pour des personnes de mon entourage (sans compter des petites choses pour moi au rayon des loisirs créatifs) or, comme je n’avais pas pris de sac ce jour-là, j’ai dû dépenser des sous dans ce sac que je garde au cas où. Je ne vais quand même pas le jeter alors qu’il a été acheté !

       En ce qui concerne les sacs, j’en ai beaucoup chez moi. Maintenant, il me reste à trouver comment se nomment les gens qui collectionnent les sacs. Une chose est certaine : je n’ai pas fini d’en acheter !

mardi 10 avril 2018

Palette et coloriage

     Quand je reste chez moi, j’aime varier les activités. Le point de croix apparait régulièrement dans mes articles mais j’aime lire (surtout le soir avant de me coucher), mettre à jour mon Bullet Journal, organiser mes boîtes d’une autre manière mais également le coloriage. Ce domaine d’abord réservé aux enfants s’est étendu aux adultes puisqu’il existe de nombreux cahiers dans les grandes surfaces ou les marchands de journaux. Pour se consacrer à ce loisir, il faut tout naturellement le matériel adéquat.

 

      Et ce matériel adéquat consiste en une palette de crayons de couleurs comme celle-ci. Il me semble que j’en avais parlé dans mon article consacré à la boîte de fils achetée chez Action. Cette palette coûte 3,99 euros. Elle est fabriquée en bois clair et, afin d’attraper les crayons, le couvercle se glisse de cette façon. Habituellement, lorsque les crayons sont présentés dans un étui en plastique, je les range dans une trousse et je jette l’étui en question. Or, cette fois-ci, ils vont rester dans cette boîte très esthétique.

      Il existe deux types de coloriage : celui où on suit son inspiration, en mode coloriage libre, et celui où on suit une légende des couleurs, en mode coloriage réglé (on peut toujours apporter sa touche personnelle avec un effet dégradé) . Ce coloriage-là répond à la deuxième catégorie. Il a été acheté chez Babou au prix de 5 euros. Les dix crayons correspondent aux dix couleurs à reporter sur le dessin.
      J’apporte une petite parenthèse à propos de l’âge mentionné sur le carton ; je ne suis pas d’accord car je ne suis même pas certaine que le modèle intéresse. D’autant qu’il y a une difficulté supplémentaire dans ce dessin. En effet, deux couleurs sont à mélanger dans une même case. Pour un rendu sympa, cela demande de l’attention et un minimum de maîtrise. Bref, je ne me fie pas aux âges pour les activités car il existe toujours un moyen de les rendre plus intéressantes. Par exemple, il va falloir que je m’y remette mais j’ai une boîte complète de perles à repasser. J’ai vu un grand Dark Vador lors d’un marché de Noël. C’est un adulte qui l’a construit et le résultat était génial.

      Voilà un article avec une touche artistique ! Et comme vous pouvez le remarquer si vous avez lu d’autres articles, je ne suis jamais à court d’idées en ce qui concerne les activités. Bien évidemment je vais sur ma messagerie, je regarde des vidéos sur Youtube comme beaucoup de monde et je réponds à des enquêtes en ligne mais j’aime prendre du temps hors de l’écran. Et je suis toujours contente quand je vois quelque chose se créer entre mes doigts.

vendredi 6 avril 2018

Boîte à fils

     Cet après-midi, je suis allée faire un petit tour à Action. Ma dernière visite dans ce magasin datait déjà d’un moment. Je ne suis pas certaine d’avoir acheté l’organiseur de bureau lors de cette dernière visite mais plutôt un collier avec des perles roses que je n’ai pas encore monté. Je ne suis jamais en manque de loisirs créatifs. Cette boîte est donc mon dernier achat, sans oublier une pochette avec des élastiques incrustée de fleurs, une boîte de 36 crayons de couleurs et une déco printanière à accrocher.
      Pour en revenir à cette boîte, elle contient 80 fils pour réaliser différents modèles au point de croix. J’ai déjà deux boîtes remplies, plus une petite avec des fils achetés également à Action. Sans oublier la fameuse boîte DMC contenant les nouvelles couleurs.

       Voilà à quoi ressemble cette boîte une fois ouverte. J’ai oublié de préciser qu’elle contenait aussi une petite paire de ciseaux. L’outil indispensable de toutes les couturières et de toutes les brodeuses. J’ai acheté cet ensemble à moins de 7 euros. Je trouve que c’est une très bonne affaire. Je ne sais plus si j’en ai parlé mais on a la chance que Cultura ait ouvert ses portes. Je connaissais celui de Barentin, à quelques kilomètres de Rouen, et j’adore y passer du temps afin de découvrir les nouveaux livres, les nouveaux arts créatifs…

      Je ne sais pas encore où je vais ranger cette boîte. L’idéal serait de la mettre avec les deux autres.

mardi 3 avril 2018

Livres A vous de mener l’enquête

 

      Dans un précédent article, j’évoquais ma passion pour la lecture des romans policiers. L’exemple que je mettais en avant était celui d’une femme détective du nom d’Agatha Raisin. Lorsque tout un village est persuadé que la nouvelle arrivante a assassiné un habitant, elle essaie par tous les moyens de se disculper. Je n’oublie pas qu’il me reste encore deux tomes à lire or, pour le moment, ils sont indisponibles dans les bibliothèques que je fréquente.
      Ces deux livres n’ont rien en commun avec les romans. A première vue, ils ressemblent à un grimoire renfermant des documents importants. Ce n’est ni tout à fait vrai ni tout à fait faux. Ces livres ne datent pas de plusieurs siècles puisqu’ils ont été édités en 2011 aux éditions Marabout. Et ils consistent en une énigme à résoudre à travers différents indices cachés au fil des pages.

     Concernant le Mystère de la Villa Maud, le corps d’un homme est découvert dans un compartiment de première classe dans un train allant de Paris à Cherbourg. En même temps, l’épouse de l’homme décédé qui vit à la Villa Maud est retrouvée ligotée dans sa chambre. Aux travers d’indices, il faut découvrir ce qui a bien pu se passer ce fameux soir.
      Concernant la Sombre Légende d’Aîmont-Preux, des animaux sont retrouvés morts dans une forêt. Par la suite, des morts étranges sèment la panique dans ce paisible village. Il faut découvrir si la légende qui entoure cette bourgade est vraie ou si ces phénomènes suivent une logique.


        

       Voilà à quoi ressemblent ces indices qui couvrent une page entière. Bien évidemment des indices ne figurent pas à chaque page or, lorsqu’ils sont mis ensemble, ils résolvent l’énigme et mettent en avant le coupable.
         Après quelques recherches sur Internet et dans les rayons des librairies, il n’existe que ces deux tomes. C’est bien dommage car cette autre approche est intéressante.