lundi 13 octobre 2025

Ai-je vraiment emprunté autant de livres ?

Bonjour et bonne lecture !

Nous sommes entrés dans le mois d’octobre depuis bientôt une semaine, j’espère que vous allez bien. Est-ce que vous avez installé votre décoration d’automne ? Pour ma part, je ne me suis pas encore penchée dessus mais je compte m’occuper d’ici quelques jours. Il est temps que je ressorte mes hérissons et des citrouilles. En ce moment, je remplis des sacs pour finir de déménager ma chambre et emménager dans ma maison. Bon, le jardin ne ressemble à rien, le salon de la maison est encombré de sacs à vider… Bref, c’est le chaos. Malgré tout, je trouve le temps pour lire et pour continuer mes loisirs créatifs. J’ai délaissé un peu mon Diamond Paiting entamé sur le thème de Noël pour faire… un hérisson ! Comme par hasard. Ce diamond Painting a été acheté au magasin Tedi de Gruchet-le-Valasse. Je vous ai parlé de ce magasin récemment sur Instagram, n’hésitez pas à me suivre sur ce réseau (je vous mets mon compte juste ici : https://www.instagram.com/stephaniedubois554/ ). Comme vous avez pu le lire dans le titre, j’ai emprunté de nombreux livres il y a plusieurs semaines. Il est temps que je vous présente les lectures qui m’accompagnent depuis toutes ces semaines. Donc, si cet article vous intéresse, je vous invite à lire la suite.

 

Je vous ai parlé de cette auteure à de nombreuses reprises ces derniers mois car j’adore sa série de livres “Magritte et Georgette”. Cette fois, Nadine Monfils s’attaque à un autre registre avec ce livre intitulé “Le rêve d’un fou”. Il est consacré à la vie du Facteur Cheval et à la construction de son palais idéal situé à Hauterives dans la Drôme. Grâce à ce roman qui mélange fiction et réalité, j’ai pu découvrir la vie de cet homme ordinaire qui va construire de l’extraordinaire grâce à une volonté sans fin. Je vous mets le résumé ici : “Le hasard sème parfois un peu de poudre d'étoiles pour aller au bout de nos rêves. Quand le destin s'est acharné sur lui, le Facteur Cheval aurait pu sombrer dans la douleur et le désespoir. Il a plutôt choisi de se lancer dans un pari insensé : construire de ses propres mains son Palais Idéal. Mais une étrange rencontre lors de ses tournées va donner un tout autre sens à son rêve. Parce que la passion est la seule chose qui peut nous sauver”. Maintenant, il ne me reste plus qu’à découvrir ce palais.

 

Je passe à un second roman emprunté dans la même bibliothèque, il s’agit du roman “Billy Pretty a disparu” de Sophie Astrabie. On y découvre l’histoire de Billy, une enfant de 7 ans qui vit avec son grand-père depuis que sa mère est décédée. Je n’ai pas l’habitude de lire ce genre de roman, autrement dit chaque chapitre correspond à une année dans la vie de Billy dont la rencontre avec ce petit garçon dans l’escalier de son immeuble va changer le cours de son histoire. Le chapitre 19 (il y en a 20) est une rétrospection sur la vie de Billy, et surtout celle de sa mère qui ne connaît pas le succès tant espéré dans le monde de la musique. Je vous mets le résumé ici :"Depuis qu’elle est enfant, Billie est élevée dans une petite ville de province par Marcel, son grand-père. C’est dans ce milieu modeste où chaque centime compte, où les distractions sont rares, qu’elle grandit. Mais un jour d’été comme les autres, dans l’escalier de son immeuble, Billie rencontre Maxime. Avec lui, elle découvre l’amitié, la confiance et l’amour. Ils vont se perdre, se retrouver, se perdre encore... C’est l’histoire de deux personnes qui s’aiment depuis l’enfance, mais pas en même temps. C’est l’histoire d’une petite fille qui croit en sa légende personnelle même après que celle-ci s’est effondrée. C’est l’histoire de Billie, qui va tout faire pour exister”.

 

Maintenant, je vais m’attarder sur un roman que j’ai fini de lire hier soir. Il ne me restait qu’une vingtaine de pages à lire donc, je les ai lues avant de me coucher. Marigold Bloom allait-elle sacrifier son amour afin de retourner auprès des siens gérer sa boutique de fleurs ? Ou allait-elle succomber au charme d’Oliver Lockhart ? Voilà les deux questions que je me posais. À présent, j’ai la réponse. Pour en revenir à ce roman intitulé “A season for scandal” et écrit par Laura Wood, il nous présente le personnage de Marigold Bloom, une fleuriste hors pair. Mais sa rencontre avec Oliver Lockhart va la mener vers une société secrète “La volière” qui a pour but d’aider les personnes en difficulté. Cette fois, cette mission concerne la sœur d’Oliver mystérieusement réapparue. La question est la suivante :  est-elle réellement sa sœur ou est-ce que cette femme a pris sa place pour toucher une partie de l’héritage ? Je vous mets le résumé ici : “Lorsque l'entreprise familiale court à la faillite, le dernier imprévu dont Marigold Bloom a besoin c'est Oliver Lockhart, jeune homme terriblement séduisant mais ô combien agaçant. Pourtant, cette rencontre la mène tout droit à la Volière, une agence secrète dirigée par des femmes audacieuses ayant recours au chantage contre les hommes puissants qui abusent de leur pouvoir. Propulsée au cœur de cette organisation, Mari se voit confier sa première mission : faire équipe avec Oliver pour découvrir la vérité sur le retour soudain de la sœur disparue de Lockhart. Leur couverture ? Se faire passer pour un couple follement amoureux, fraîchement fiancé. Au cours de leur enquête, le jeu devient de plus en plus troublant, et la frontière entre mensonge et réalité moins nette. Alors que sa relation avec Oliver est factice, se pourrait-il que Mari éprouve de réels sentiments ?”

 

Il me reste encore un roman à évoquer avant de passer aux bandes dessinées. Bien entendu, je connais le personnage d’Arsène Lupin dont j’ai lu plusieurs romans le concernant. Ce gentleman cambrioleur a égaement été porté au cinéma et à la télévision. Donc, cette œuvre intitulée “Le dernier amour d’Arsène Lupin” et écrit par Maurice Leblanc n’a été découverte qu’après le décès de l’auteur, plus précisément en 2011 dans une pochette en haut d’un placard. Elle a été écrite entre 1936 et 1937 et aborde le personnage de Lupin sous un autre jour. Je vous mets le résumé ici : “Décembre 1921. Arsène Lupin se consacre désormais à l'éducation des enfants pauvres de la "Zône" au nord de Paris. Mais des "forces obscures" veulent s'approprier un livre mystérieux, propriété de l'un de ses ancêtres, général d'Empire. Ces forbans sont prêts à tout, y compris à mettre en péril la vie de Cora de Lerne, "dernier et unique amour" du célèbre gentleman-cambrioleur. Ecrite en 1936, cette ultime aventure d'Arsène Lupin aura attendu soixante quinze ans avant d'être publiée. Intrigues historiques, fausses pistes, trahisons et passion amoureuse, tous les ingrédients des "Arsène Lupin" sont réunis dans cette histoire à rebondissements. Avec, en plus, une atmosphère très particulière et un certain "Capitaine Cocorico" “.

 
 
 

Est-ce que j’ai pris toutes les bandes dessinées du “Club des cinq” ? Il me semble que la case de la bibliothèque où sont rangées ces bandes dessinées était vide quand je suis repartie. Quelquefois, des documents en tous genres (livres, DVD…) disparaissent de la bibliothèque. J’avais commencé une série de mangas qui tournaient autour de l’art. Je n’ai lu que le premier tome puisque le second avait disparu (et n’est jamais réapparu). Cette série de mangas a été découpée en plusieurs volumes sinon, on aurait eu droit à un manga digne d’un pavé de 1000 pages ! Comme il me semble que la bibliothèque ne compte que six bandes dessinées du “Club des cinq”, j’ai tout pris. Est-ce que vous connaissez cette œuvre écrite par Enid Blyton ? Cette romancière britannique s’est lancée dans l’écriture pour la jeunesse, je suppose que vous avez déjà entendu parler de Oui-Oui. Eh bien, elle en est aussi l’autrice, au même titre que la série “Le clan des sept”. Pour en revenir à nos moutons (ou plutôt à cette bande dessinée), elle relate les aventures d'un groupe de quatre enfants : Claudine (surnommée Claude), François, Michel, Annie et le chien Dagobert. Rien ne les arrête pour mener des enquêtes et ainsi, démasquer le coupable.

  

C’est le retour des magazines. Pendant un temps, j’en empruntais davantage et je ne pourrai pas vous dire pourquoi j’ai cassé ce rythme. Peut-être par manque de temps, comme toujours. En réalité, j’avais une liste sous format papier où je notais le nom du magazine et son mois de parution. Certains magazines comptent 12 parutions dans l’année (une par mois) tandis que d’autres n’en comptent que six (un numéro pour deux mois). En empruntant ces magazines, j’ai eu l’idée de revenir vers cette liste et je vais prendre plaisir le temps d’une pause goûter de lire mon magazine par exemple. Je me dirige toujours vers ces titres en particulier qui sont “Modes et Travaux” et “Marie-Claire idées”. Il est temps de retrouver de l’inspiration (Pinterest m’aide à ne pas perdre le fil) et des jolies photos créatives.

 

À présent, j’ai envie de vous parler d’une bande dessinée dont j’ai pris connaissance en me rendant à la bibliothèque. Il s’agit de “La Belle Endormie” dont j’espère découvrir la suite prochainement. Cette bande dessinée dont 3 tomes sont disponibles à la bibliothèque a été imaginée par Karina Lyfoung, une illustratrice née en 1985. J’ai été charmée par la couverture où la jeune fille tient un violon dans sa main, autrement dit mon instrument de prédilection. Je vous mets le résumé de la série ici : “Oxana, jeune danseuse de la fin du XIXe siècle, est victime d'une malédiction qui la plonge dans un sommeil profond... Elle se réveille cent ans plus tard, amnésique, dans une époque qui n'est pas la sienne. Vengeance, malédiction, jalousie... Rien n'épargne Oxana Ravenel qui devra faire preuve de caractère pour être acceptée dans la compagnie de danse et retrouver son identité. Elle pourra heureusement compter sur le soutien de ses deux nouveaux amis : le beau et intrigant Léonide et sa complice, Aria”.

J’espère que cet article vous aura plu, dites-moi dans les commentaires ce que vous avez lu ces dernières semaines, voire ces derniers mois.

À bientôt !

jeudi 2 octobre 2025

Je vous souhaite la bienvenue à Créativa (édition 2025)

Bonjour et bonne lecture !


J’espère que vous allez bien depuis tout ce temps. À l’heure où je commence à écrire cet article de blog, le mois de septembre touche à sa fin et nous sommes en automne. Comme il fait nuit plus tôt, je profite davantage de mes éclairages de jardin (lanternes, guirlandes de fleurs et oiseau). Il y a quelques jour, je me suis rendue au salon Créativa, le salon des passionnés de loisirs créatifs. Il y en a pour tous les goûts et tous les budgets. Bon, j’avoue qu’on se laisse tenter facilement par toutes ces belles choses. C’est simple, la carte bancaire devrait rester à la maison pour les personnes qui en ont une. J’avais prévu un budget qui n’a pas été respecté, vous comprendrez pourquoi. Allez, je vous emmène au salon avant de vous montrer mes achats. Donc, si cet article vous intéresse, je vous invite à lire la suite.

 

Dès l’entrée du salon, j’ai été accueillie par ce montage qui regroupe de nombreux loisirs créatifs. En effet, on y trouve une machine à coudre, un bouton, du ruban ainsi qu’une grosse paire de ciseaux. L’année dernière, un montage semblable à celui-là accueillait le visiteur, j’ai même été prise en photo devant. Je vous laisserai agrandir la photo de gauche et me dire ce qui vous choque (si vous n’avez pas le courage de cliquer, je vous donne la réponse : il est écrit “peinutre” sur le tube au lieu de “peinture”). Apparemment, c’est la volonté de l’artiste mais je n’y crois pas vraiment.

 
 
 
  

La visite se poursuit avec des mises en scènes de différents artistes, je vous laisse apprécier leurs œuvres.

  
 
 

Que serait un salon de loisirs créatifs sans la présence de Bohin ? Si vous ne connaissez pas, cette entreprise normande fondée en 1833 et située à Saint-Sulpice-sur-Risle fabrique des aiguilles : 2 mois et 27 étapes. Afin de mettre ce savoir à l’honneur, je vous propose 3 modèles de robes recouvertes d’aiguilles (je ne les ai pas comptées).

 

Après avoir passé une agréable journée et mangé un croissant pour mon goûter, il est temps de dire au revoir au salon qui proposait, comme à son habitude, de jolis stands où il est difficile de résister.

Ce salon a le droit à un article dans le journal qui proposait de gagner des entrées gratuites.

 

Alors, qu’ai-je donc acheté à ce salon ? Tout ça ? Comme prévu, c’est parti pour vous montrer mes achats. Je commence avec ce premier tote-bag sur lequel figure le nom de la boutique. Est-ce que toutes les couturières ressemblent à ça ? Je ne pense pas mais l’image me fait rire. Sur le deuxième tote-bag, je me suis dirigée vers une image plus hivernale avec cette jeune fille qui savoure une boisson chaude. Chaque tote-bag coûte 5 €. Si vous regardez dans mon sac à main, vous verrez que j’y ai glissé un tote-bag. Par exemple, j’ai mis mon sweat dedans pendant ma visite du salon afin de ne pas payer le vestiaire. Le vestiaire ou un achat créatif ? Le choix est vite réfléchi !

 

Est-ce qu’une construction en briques se glisse parmi mes achats ? La réponse est oui. Sur le stand où j’ai acheté cette machine à coudre, de nombreux modèles sont assemblés afin de mieux se rendre compte du résultat final. À l’heure où je publie ce blog, je ne l’ai pas encore assemblée mais j’ai jeté un œil au contenu de la boîte. Oh là là ! Il n’y a que deux sachets et une explication digne des experts. De bonnes heures de montage en perspective.

 

Je m’arrête toujours à ce stand pour regarder leurs jolis boutons. Soit, vous pouvez en acheter à l’individuel, soit vous pouvez acheter des lots comme celui que je vous présente. J’aime ce lot de boutons pour son côté vintage, cette couverture me fait penser à un ancien numéro de magazine de mode. Et avez-vous aperçu le petit chien blanc ? N’est-t-il pas mignon ?

 
 

Il me semble que c’est la première fois que je vois ce stand. Je ne dirais pas que j’avais envie de tout acheter mais tout ce qui était proposait mettait mon cerveau en ébullition créative. J’ai acheté cette plaque de porte où je vais y broder un joli modèle (peut-être dans le thème boudoir) grâce aux trous. La petite fille et la coiffeuse sont des éléments de décoration qu’on peut coller sur des plaques et ainsi, créer une mise en scène. Et ce bouton qui représente une brodeuse me fait tout de suite penser à l’univers de Sarah Kay.

 

Allez, il est temps de vous montrer la raison de mon dépassement de budget. Les broderies en point de croix de ce créateur sont toujours aussi magnifiques. L’année dernière, j’ai dépassé mon budget à ce même stand. J’adore le piano en arrière-plan. Un autre modèle dont la femme portait une robe violette me tentait bien aussi mais, étant donné les prix, j’étais déjà contente de repartir avec cette broderie qui va m’occuper de nombreuses heures pour un résultat tout en finesse.

 

Lorsque je commencerai ce point de croix, j’utiliserai mes aimants pour les aiguilles. J’ai choisi deux modèles qui n’ont aucun rapport entre eux. À gauche, les souris me rappellent l’univers de Cendrillon. Bon, elles ne cousent pas une robe mais elles se débrouillent très bien en broderie. Et ce deuxième aimant reprend tout l’univers du fil.

J’espère que cet article vous aura plu, dites-moi dans les commentaires si vous êtes déjà allés à ce salon ou un autre salon du même genre.

À bientôt !